Evolutions (36) - Histoires de Sexe

Evolutions (36)

EVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 36 : Un zeste de folie.

Nous restons allongés quelques instants tandis que je continue à caresser le corps magnifique d’Alice, qui ne semble pas plus que moi avoir envie de se relever. C’est pourtant ce que nous finissons par faire, non seulement parce que nous sommes sur le sol, et que la double couche du tapis et de la moquette n’atténue que moyennement sa dureté ; mais qu’en plus l’éjaculation féminine de mon petit bout de femme a rendu l’endroit à la fois humide et légèrement collant.

L’éjection de liquide de ma partenaire a en effet été plus abondante que les fois précédentes, tout comme son plaisir même si je ne sais toujours pas si cela a un rapport, et bien que je pense que la carpette en a absorbé l’essentiel, il nous faut à présent nous en assurer. C’est pourquoi, lorsque je suis debout, j’aide ma petite Poupée à en faire autant, et je soulève le tapis de sol pour constater qu’il a encore, cette fois, bien joué son rôle puisqu’il n’y a aucune tache dessous.

Je l’emmène sans attendre dans la buanderie, tandis que ma compagne se rend directement dans la salle de bains, dans laquelle je vais la rejoindre après être repassé par notre chambre. Nous prenons rapidement une douche ensemble, pour la bonne raison que nous nous sentons poisseux, mais sans ...

... utiliser de savon parce que d’un accord tacite, nous avons décidé que nous nous laverons plus tard de manière plus approfondie.

Ensuite, tandis qu’elle a posé ses mains sur le rebord du lavabo et que le haut de son corps est légèrement penché vers l’avant, j’applique sur son beau postérieur qui est encore rouge, même si à présent cela se remarque à peine grâce à son teint mat et bronzé, un baume cicatrisant et homéopathique fabriqué par une grande marque française, qui a déjà fait ses preuves.

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Lorsque j’ai terminé, Alice me remercie d’un sourire, et après que nous nous sommes chaussés, elle, de ses mules à talons en bois, et moi, de mes éternelles espadrilles, je vais faire couler nos thés tandis qu’elle va chercher le pain et les viennoiseries dans la boîte à lettres. Lorsque c’est fait, nous prenons ensemble notre petit-déjeuner sur la table de la terrasse, comme s’il s’agissait d’un matin tout à fait ordinaire, mais bien entendu selon nos propres normes.

Enfin presque, étant donné que mon petit bout de femme a fait une grimace lorsqu’elle s’est assise, bien qu’elle ait pris la précaution de mettre sur sa chaise une serviette éponge avant d’y poser ses fesses charnues. Cette protection a le double avantage de, non seulement rendre le contact du siège plus doux, mais également d’absorber le surplus de graisse de la pommade, qui n’a pas réussi à pénétrer dans sa chair endolorie.

Mais ensuite, tout se passe comme d’habitude, et je remarque que les beaux sourcils ...