1. Jeanne en Chaleur (1)


    Datte: 01/02/2021, Catégories: Hétéro Auteur: alpha_s3, Source: Xstory

    ... mon lit et en moi pendant 3 semaines. Un homme qui me ressemble comme deux gouttes d’eau et qui me fera un enfant.
    
    A son réveil, il me trouva en train de préparer un léger petit-déjeuner, il se confondit en excuses :
    
    — Ma belle Jeanne. Je suis désolé pour hier. J’ai fait de toi une femme infidèle, et je trompe ma copine qui m’a quitté il y a quelques semaines. Je ne suis même pas capable de rester réveillé et sobre toute la nuit pour te faire jouir comme tu m’as fait jouir. Je suis pitoyable et je te demande pardon.
    
    — Non ! Ce n’est pas vrai ! J’ai bien joui hier, plusieurs fois (un peu vrai, au moins une fois avec sa bouche, pas sa bite). Et j’ai surtout passé une nuit agréable avec toi, et toi en moi. Ce n’est pas de l’infidélité, c’est de la l’amour et du désir. Et toi et moi, on est pareil, alors ce n’est pas si grave. C’est ce qui importe. Je veux passer les autres nuits comme ça, avec toi, si tu le veux.
    
    — J’ai éjaculé en toi hier, n’est-ce pas ?
    
    — Oui, tu m’as bien inondée. Ma chatte était déjà bien remplie de mouille, mais ton jus l’a fait déborder.
    
    — Tu ne risques pas de tomber enceinte. Je ne veux pas gâcher ton mariage et ta famille ou te force à avorter.
    
    — Non mon beau ! J’ai un stérilet hormonal et je prends la pilule (oh le gros mensonge, ça ne va même pas ensemble, mais qu’est-ce qu’il en sait. Il a une jolie bite et sa copine était stérile).
    
    Et c’est reparti. La journée, c’était travail acharné. On ne se croisait presque plus au ...
    ... travail. Mais le soir tombé, on rentrait rapidement chez lui, on ne dînait presque plus, et on se mettait nus devant la cheminée, soit sur le lit soit sur deux peaux de mouton par terre (le cliché).
    
    J’ai réussi à le ralentir un peu sur la boisson pour finir la nuit au moins capable de bien me défoncer la chatte et surtout espérer au moins deux éjaculations dans ma matrice par nuit, surtout vers la fin de la première semaine ou plutôt ma période d’ovulation.
    
    Mais à chaque réveil, j’avais le droit au même discours, aux mêmes lamentations, mêmes excuses, mêmes regrets ... que j’ignorais.
    
    Je me rappelle bien de ce cinquième jour, c’était un samedi. On s’est réveillé un peu tard pour récupérer de toutes ces nuits de baise. Nous sommes allés nous promener dans son beau pays, sur la plage, à la forêt sur les bords du fjord, dans une marina. Bien sûr, il a commencé à boire des bières assez tôt dans la journée et quelques apéritifs et digestifs au restaurant, à part le vin. On rentra un peu tard, très fatigués, mais j’étais intraitable sur le baiser. J’avais un pressentiment. Cette nuit, pas de préliminaires ni de préparatif, à part moi à genoux devant lui, encore avec ma robe en train de lui pomper la bitte pour la rendre dure. L’alcool dans son sang n’aidait pas. Quand il était prêt, m’allongeait mon buste sur le canapé, enlevais ma culotte, remontais le bas de la robe et l’invita à me prendre sans ménagement, ce qu’il fit. Ça ne dura pas cinq minutes et il m’emplit la chatte. ...
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