1. Justine à Paris (3)


    Datte: 01/02/2021, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Sans ménagement, le géant noir (Jonah, il s’appelle donc) me pousse contre la vitre alors que le métro s’arrête. Je ne sais plus trop où nous sommes... Sèvres-Babylone, bon. Je retiens un cri quand les mains de Jonah soulèvent ma robe et caressent mes cuisses en remontant doucement. Mon ventre se fait lourd et chaud alors que ses doigts se rejoignent à hauteur de mon entrejambe.
    
    — Écarte les jambes, montre-moi si tu mouilles comme une petite salope. Oh oui, tu mouilles, tu sens mes doigts qui entrent dans ta chatte ? Je t’ai posé une question !
    
    — Oui, arrêtez, pas ici... Aïe ! Pas ça, arrêtez !
    
    — Tais-toi, je t’ai déjà dit que je faisais ce que je voulais.
    
    Je serre les dents, il vient de pincer mon bouton mais la douleur reflue. Il a enfoncé deux doigts dans mon vagin, il les recourbe pour ravager mon point G, je hoquette et me tortille, ma mouille doit inonder ses phalanges. Je ferme les yeux, coupée du monde extérieur, je résiste à la montée du plaisir, je ne veux pas jouir ici, dans le wagon, au milieu de la foule de passagers. Sauvée par le gong, Jussieu. Le Noir me lâche comme à regret et je file, non sans l’avoir entendu murmurer :
    
    — Demain, pas de sous-vêtement !
    
    Je reprends difficilement mon souffle en marchant vers la sortie de la station. Je dois être affreuse à voir, échevelée et le visage rouge ; arrivée au bureau, un passage aux toilettes me permet de me recoiffer. Mais la journée est interminable. Le fait d’être nue sous ma robe me perturbe ...
    ... alors que je sais que ni Julien ni les autres collègues ne se doutent de rien. Mais moi, je le sais ; et ça suffit à me mettre dans tous les états. Et dire que ce soir je vais devoir raccourcir cette robe...
    
    Le lendemain, vendredi, je n’en mène pas large en attendant sur le quai. Comme prévu, j’ai modifié ma robe. Elle s’arrête maintenant à mi-cuisses et n’a plus de manches, j’ai découpé soigneusement le tissu pour découvrir largement mes épaules. Ce n’est pas du travail de pro, mais je me suis appliquée et les ourlets sont propres, cousus du fil bleu ciel que j’ai choisi. Je serre nerveusement ma sacoche contre moi ; dedans, j’ai une culotte et un soutien-gorge, je serai plus tranquille dans la journée.
    
    Comme d’habitude désormais, je ne regarde pas derrière moi, pourtant je sais qu’ils sont là. Mon ventre se noue d’une attente malsaine. J’entends la rame arriver et me recule machinalement, puis je me précipite à l’intérieur, tout au fond.Obéissante comme une petite salope, n’est-ce pas comme ça qu’il m’a appelée hier ?
    
    Ils sont déjà là, derrière moi. Jonah me bouscule contre le coin du wagon. Ma robe est aussitôt soulevée sur mes fesses, je sursaute en recevant une claque sonore. Elle claque fort, je sais que je vais avoir la marque de la main, car ma peau est très sensible.
    
    — Bonjour, Justine. Tu ne t’es pas trop foulée. Tu as raccourci, c’est vrai, mais je t’avais demandé sexy. Sexy, c’est ras la touffe. Donne ton téléphone, Marco va mettre des contacts.
    
    Sans ...
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