Ma tendre soeur Lou et moi (1)
Datte: 01/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: SIQUOIR, Source: Xstory
... parents, ensuite il y avait la chambre de notre petit frère Xavier, et puis il y avait ma chambre à moi. Et au-dessus de nos chambres se trouvait le grenier où nous entreposions le foin pour les lapins et le cochon que nous élevions pour notre consommation personnelle.
Nous étions au printemps, et comme je n’avais pas de succès auprès des filles, vu ma timidité, je commençais à espionner ma sœur Lou, lors de nos jeux entre frères et sœurs, lorsque nous jouions à nos jeux d’antan, je faisais semblant de toucher par inadvertance les seins de ma sœur, que je trouvais à cette époque-là très beaux et bien fermes, de plus en plus souvent, il m’arrivait de toucher son corps par ci et par là, sans qu’elle ne remarque que je le faisais express.
Il m’arrivait souvent la nuit de fantasmer sur elle, sur ses seins, sur son corps et sur ce que je lui ferais subir, si j’arrivais à l’amadouer à mes dépens. Car je dois dire, Lou a un fort caractère et ne se laissait pas faire sans répondre, que ça soit oralement comme physiquement. Dès notre plus jeune âge, nos parents nous avaient appris et nous avaient fait travailler durement, ils nous prenaient toujours avec eux, lorsqu’il fallait couper le foin, le regain, lorsqu’il fallait faire du bois de chauffage en forêt, ou lorsqu’il fallait planter des patates dans les champs, etc. Nous étions à chaque fois de la partie, lorsqu’il s’agissait de travailler à l’extérieur dans les champs, les prés ou encore en forêts. Ce qui eut pour effet de ...
... bien muscler nos bras, nos cuisses et nos mollets. Nos parents n’avaient aucune retenue et nous faisaient gagner durement notre pain quotidien.
C’était normal pour nous de les aider, car ils travaillaient durement pour subvenir à nos besoins, à partir du moment où il fallait les aider, ils se fichaient pas mal que nous soyons un garçon ou une fille, nous étions tous logés à la même enseigne. A partir du moment où ils nous jugeaient aptes à faire certaines corvées, on devait être présents, et être à leurs côtés à ces moments-là et nous devions accomplir certaines tâches, à chacun les siens.
Nos parents étaient très croyants côté religion, ils aimaient leurs enfants, il faut dire que nous ne manquions de rien, et nous étions très heureux ainsi, car nous ne connaissions rien d’autre, et comme dans les familles que nous côtoyons à cette époque-là, c’était pareil chez eux aussi. Et en ce qui concerne la sexualité, c’était tabou, on ne nous disait rien, nous devions tout apprendre par nous-mêmes, nous comprenions certaines choses, qu’au fur et à mesure que nous écoutions les adultes, lors de soirées bien arrosées, c’est à ces moments-là que les langues se déliaient un peu, mais sinon, on ne parlait jamais de sexualité à la maison. Ma sœur était même honteuse et choquée, lorsqu’elle eut ses premières règles, c’est seulement à ce moment-là que notre mère lui expliqua grossièrement le fonctionnement du corps féminin et ses inconvénients chez les femmes.
Bon, ceci étant dit, je ...