Je dois te parler
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Arsenne, Source: Hds
... car il enchaîne soudain par une série de danses lentes et langoureuses.
Les deux danseurs se séparent et se toisent quelques secondes, hésitants sur la conduite à tenir. C’est la jeune femme qui prend l’initiative et brusquement elle enlace son complice, lui passe une main derrière la nuque et l’attire à elle. Lui, pose une main sur ses reins, une autre sur les fesses. Ils ondulent alors lentement au milieu de la piste. Chacun a pu voir Chantal rajuster le haut de sa robe pour cacher son sein épris de liberté. Leurs visages se font face, très près, leurs nez à presque se toucher. On devine que leurs haleines se mélangent, leurs souffles se mêlent. Ils sont déjà en train d’échanger un semblant de baiser.
- Tu crois qu’elle va se laisser embrasser ?
- Jacques, je pense plutôt que c’est elle qui va l’embrasser. Regarde ses yeux, ils sont pleins de désir.
- Mais Arsène tu deviens fou ! C’est Chantal !
- Tu as raison je deviens fou. J’ai peur et en même temps je suis excité de la voir s’abandonner dans les bras de ce type. Jamais j’aurais cru cela d’elle. Ni de moi !
- Tu n’as pas peur de la perdre ?
- Non ! Impossible. Il existe une telle complicité entre nous. Depuis le premier jour. Tu as vu comment elle me regardait ? Elle sait que je suis là. Tu la connais bien Jacques, tu sais bien qu’elle ne serait pas capable d’une telle infamie !
Un court silence s’établit entre les deux hommes au milieu de la musique douce qui balaie la salle. Ce dialogue est ...
... surnaturel, complètement décalé quand on observe la scène. Une femme très belle danse dans les bras d’un black. Il est habillé d’un pantalon léger noir en flanelle qui lui moule le sexe et les fesses. Son teeshirt, collé à la peau par la sueur dessine un torse musclé et puissant. Une image de sexe qui fascine la jeune femme.
Maintenant les lèvres rouge foncé, charnues et brillantes de salive de l’homme ne sont plus qu’à quelques millimètres de celles, roses et fines de Chantal. Le temps se fige, leurs yeux sont braqués les uns dans les autres.
- Comment Chantal peut-elle se laisser séduire par un type de ce genre. C’est l’archétype même du monsieur muscle avec rien dans la cervelle ! Ce n’est pas possible, il doit l’avoir droguée.
- Tu sais Jacques, les femmes se ressemblent dans leurs désirs de plaire. Ce mec c’est tout mon contraire. On devine facilement qu’il a une grosse queue à la bosse au niveau de sa braguette. Les femmes prétendent que la taille n’a pas d’importance, peut-être, mais quand on leur en propose une grosse, elles perdent la tête, non ? Elles ne se contrôlent plus devant l’envie de se faire défoncer et remplir le vagin.
- Comment peux-tu parler ainsi de ta femme. Tu lui donnes les raisons de se conduire comme une salope ! Tu vas même jusqu’à l’excuser.
- Que veux-tu que je fasse ? J’imagine qu’elle a pris la mesure et du sexe de cet abruti et des risques qu’elle prend.
Sur la piste la situation a brusquement évolué. On a pu voir Chantal ...