Week-end plaisir des sens - 2 - Histoires de Sexe

Week-end plaisir des sens - 2

... où le vibreur doit se mettre en marche, on remarque que ma femme se cambre d’un coup. Puis elle ferme les yeux.

On arrête le vibreur un court moment puis on le remet au maximum d’un coup.

On voit son corps se relâcher au moment de l’arrêt du vibreur, puis immédiatement on la voit se raidir de nouveau et se cramponner à Alain. Son bas-ventre se colle contre le bas-ventre d’Alain, qui doit aussi bander fort. Son bas-ventre semble vouloir pousser celui d’Alain le plus possible, en recherche d’une dureté.

Hélène et moi matons tranquillement ma femme qui est complètement prise par le plaisir. Hélène me dit que ma femme va sûrement jouir dans les bras de son homme. Et que cela ne va pas lui déplaire !

Au moment où l’on perçoit que ma femme a joui sous l’effet du vibreur… elle semble dormir dans les bras d’Alain, on arrête le vibreur.

Et on reprend notre petite discussion cochonne.

— Eh bien, c’est efficace comme outil ! dis-je. Il faut dire qu’elle était déjà bien excitée par la danse avec Victor.
— Oui, je vois cela ! dit Hélène. Et donc dans la chambre, tu me racontes votre partie de baise ? Et après je te raconte la nôtre.

Et me voilà à raconter la partie de baise d’avant le repas. Je lui décris tous les détails.

— Ouah ! C’était chaud les enfants ! dit Hélène.
— Et vous ...

... alors ? Tu disais que vous aviez baisé calmement. C’était comment ?
— Eh bien tout d’abord, nous avons pris le temps de nous doucher séparément. Puis une fois bien propres, nous avons commencé par un 69. Nous adorons nous sucer. Et sincèrement, nous sommes assez doués dans cette pratique. Puis une fois bien excités et bien chauds tous les deux, nous avons entamé une baise en missionnaire, tranquillement. Il adore me prendre comme cela. Il peut bien entrer en moi. Et comme cela il frotte mon clito en même temps. Et en plus il peut me lécher les seins, les mordiller. Puis nous avons changé de position. Je suis venue sur lui. J’étais assise sur sa queue et montais lentement, profondément. Et il me pelotait les seins, me pinçait les tétons. Et au moment de jouir, ensemble, je suis restée avec sa queue bien enfoncée au fond de ma chatte et j’ai senti son jus couler dans ma chatte, sa queue vibrer. Et lui, il pouvait sentir mon jus couler sur ses couilles et ma chatte se serrer de plaisir. Puis nous avons fini par un câlin doux.
— Hummmmmm… Eh bien, tu peux dire que cela est beau et sexy ! Je vous imagine. Et cela me fait encore plus bander. Tu dois bien le sentir.
— Oui, et te raconter tout cela m’a fortement excitée. J’ai la chatte trempée !

Après cet échange cochon, la danse prend fin.

À suivre…