Partage en Martinique - Histoires de Sexe

Partage en Martinique

Je me présente, Alexandre, 44 ans, je suis marié depuis dix-neuf ans à Chloé, 43 ans, belle brune, 1,68 m avec des formes sensuelles et surtout un magnifique 95C.

Cette histoire s’est passée, il y a vingt et un ans et a profondément changé nos relations. Nous étions ensemble depuis un an et demi.

Nous avions décidé de partir deux semaines en Martinique en mode « sac à dos » et chez l’habitant. Hervé, un collègue de ma femme qui est devenu un ami commun, nous a demandé s’il pouvait se joindre à nous. Nous avons bien sûr accepté.

Hervé est plus grand que moi 1,89 m et assez athlétique (il fait beaucoup de rugby). Moi-même, je ne suis pas gringalet, mais je ne mesure que 1,75m.

Le début du voyage s’est bien passé et je voyais les petits coups d’œil furtifs de notre ami sur les courbes généreuses de ma copine. À mon grand étonnement, cela ne me dérangeait pas et, au contraire, commençait même à m’exciter.

Bien entendu, le soir nous faisions chambre à part avec Hervé.

Durant le séjour, j’ai réussi à convaincre Chloé de ne pas porter de dessous lorsqu’on partait en balade. Bien que nous fussions les seuls à le savoir, cela me grisait. Et cela me permettait de glisser de temps un temps une main sous sa robe pour caresser ses jolies fesses rebondies, voire insinuer un doigt dans son sillon.

L’air de rien, je m’arrangeai pour qu’Hervé puisse regarder en toute discrétion, sans que Chloé s’en aperçoive.

Un après-midi, alors que nous jouions dans les vagues, le ...

... soutien-gorge de Chloé a laissé apparaître un de ses seins.

Elle ne s’en est pas aperçue de suite et j’ai bien cru que les yeux d’Hervé allaient sortir de ses orbites. Chloé m’a fait une moue de réprobation et a pris son temps pour le remettre en place, tout en disant que l’on était des sales pervers de l’avoir laissée ainsi. Mais bizarrement, je ne l’avais pas trouvé si gênée que cela devant notre ami, voire même un peu satisfaite de son effet.

Il faut dire que sa poitrine est envoûtante, surtout avec ses tétons qui pointent très souvent et ses larges aréoles.

Le soir même, alors que je commençais à lui caresser les seins, je lui demandai si la situation de l’après-midi l’avait un peu excitée. Elle m’assura que non, alors que son petit minou disait le contraire, il était trempé.

— Ne me mens pas, tu dégoulines !
— Mais ça ne va pas la tête !
— Je ne me fâcherai pas. Avoue que cela t’a excitée de te savoir désirée pas deux beaux mâles.
— Tais-toi et prends-moi, au lieu de dire n’importe quoi.

J’approchai tout doucement mon sexe à l’entrée de sa grotte. Et je commençais à la limer juste aux bords. Elle me supplia de la pénétrer complètement.

— Avoue d’abord que cela t’a plu !
— Non…
— Tu es sûre ?
— Non… oui, d’accord… un peu !
— Tu aurais voulu qu’il caresse tes seins ?
— …
— Je n’entends pas !
— Ouuui !

Je n’en revenais pas moi-même de sa réponse. Je bandai encore plus dur et je me mis à la pilonner violemment. Elle était complètement en transe ...