1. Pause déjeuner en cabine de chantier (1)


    Datte: 30/01/2021, Catégories: Hétéro Auteur: benoixlucel, Source: Xstory

    ... sa jupe pour peloter ses fesses, je les malaxe, les écarte. Et voilà donc le retour de l’insolent. Ce petit orifice, qui se croit intouchable, s’ouvre et se ferme au rythme de mes mains. Je me penche doucement sur son épaule, l’embrasse dans le cou. Je lui attrape les cheveux et tire dessus pour lui glisser à l’oreille :
    
    — J’ai envie de sodomiser...
    
    Je profite de cette annonce pour lui glisser mon pouce dans le cul.
    
    — Oui vas-y si tu veux.
    
    Je sors de chatte une pine archi tendue mais aussi ruisselante de cyprine. Je pose le gland sur le petit ridé, qui perd de son assurance et me cède sans concession.
    
    Humm, me voilà planté dans ce joli petit cul de cochonne. Ses soupirs m’engagent à plus virilité. Je donne des coups de reins de plus en plus forts, en prenant soin de sortir mon chibre presque entièrement à chaque voyage. Ma queue gonfle, mes couilles remontent sous la pression du plaisir... La faire jouir ! Il faut qu’elle jouisse avec ma bite dans son rectum. Je me concentre et la pilonne de plus belle. Quand elle m’annonce :
    
    — Oui ne t’arrête pas tu vas me faire jouir !
    
    Je donne quelques gros coups, j’entends mon ventre claquer sur ce cul blanc. Elle passe sa main entre ses cuisses, saisit ...
    ... mes couilles à pleine main. C’en est trop je vais me rependre dans ce si doux et étroit boyau. C’est le moment qu’elle choisit pour m’annoncer :
    
    — Ne t’arrête pas tu vas me faire jouir !
    
    Je ne baisse donc pas la cadence, et quand les premiers jets de foutre arrivent je sens son cul se contracter sur ma queue. Divin ! Jouir à l’unisson...
    
    Je me love contre son dos toujours planté au plus profond de son anatomie. Je lui caresse un peu les seins, en murmurant un petit je t’aime à son oreille.
    
    — Moi aussi, mais il faut que tu sortes, j’ai trop mal au dos et aux cuisses.
    
    J’obéis sagement, mais je l’oblige à garder la position pour un dernier cliché de son anus laissant perler le foutre que je viens d’y déverser.
    
    Elle repart pour la maison avec l’anus et la chatte ouverte les cuisses et les fesses pleines de sécrétions corporelles... Sapée comme une cochonne... j’adore l’idée !
    
    Le soir en fermant mon bureau j’ai trouvé un préservatif, neuf, posé en évidence devant l’entrée de la cabane de chantier... pas arrivé là par hasard...
    
    Je suppose que le voisin nous a mattés et que c’était une façon de dire j’aurais bien participé mais c’était il y a longtemps et je n’en ai jamais entendu parler depuis. 
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