1. COLLECTION VENGEANCE. Qui l’aurait cru, il y a huit jours (1/1)


    Datte: 30/01/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    J’ai épousé Jean, il y a 12 ans, j’avais 18 ans, j’en ai donc 30 ans, ça coule de source.
    
    Au moment présent, j’ai une bite dans le cul et l’autre dans la chatte, comment en suis-je arrivé là ?
    
    C’est mon mari qui va vous le raconter.
    
    Je m’appelle Jean, j’avais 25 ans quand j’ai épousé Véronique, elle 18, j’ai donc 37 ans, je vais allègrement vers la quarantaine mais je fais tout ce qu’il faut pour rester en forme.
    
    C’est le cas ce matin, je pars faire mon jogging comme tous les samedis qu’il fasse beau ou qu’il pleuve.
    
    1 mètre 80, 78 kilos, quelqu'un peut dire mieux !
    
    7 ans d’écart, au début de notre union ça semblait peu, mais au fil des ans cet écart aurait pu se faire sentir, ce qui est loin d’être le cas dans notre couple.
    
    Quand je fais mon jogging, je suis connecté à mon téléphone portable qui me permet lorsque je rentre à la maison d’analyser mes performances.
    
    • Chéri, je vais profiter de mon jogging pour aller chez mon copain Antoine !
    
    Il veut me voir, ayant une affaire à me proposer, ça semble un coup juteux, on va pouvoir changer ta voiture.
    
    • C’est gentil, j’ai toujours peur de tomber en panne lorsque j’emmène Laure et Lucien à leur école.
    
    Quand Véronique parle de Laure et Lucien, ce sont nos jumeaux qui sont nés, il y a 6 ans et qui font notre bonheur.
    
    Elle les a conduits chez ses parents hier après l’école, pour les vacances de Toussaint.
    
    Ce sont eux qui les gardent pendant ce temps, cela nous évite de payer une ...
    ... baby-sitter.
    
    Nous habitons en banlieue parisienne, eux dans la vallée de Chevreuse, nous avons récupéré leur maison alors qu’ils se retiraient dans leur maison de campagne pour leur retraite.
    
    Je parlerais bien de ma belle-mère Jacqueline.
    
    Elle m’a dans le nez, elle est persuadée que j’ai séduit sa fille pour le pognon qu’ils possèdent.
    
    Avec cette différence d’âge, elle m’a pris pour un gigolo.
    
    La naissance des jumeaux a aplani son jugement, je suis moins stressé quand je la rencontre.
    
    Il faut reconnaître que le jour de notre mariage, j’avais déjà goûté aux fruits défendus de sa fille.
    
    Elle nous avait surpris dans sa chambre alors qu’ils étaient censés être partis pour leur maison de campagne.
    
    Le destin a voulu qu’ils aient oublié leurs clefs et qu’ils aient fait demi-tour alors qu’ils étaient presque arrivés.
    
    Le pauvre homme là entendu passer encore plus quand elle a trouvé sa fille en levrette sur son lit de jeune fille, ma verge lui défonçant le vagin.
    
    Je suis resté stoïque, quand je leur ai demandé la main de leur fille.
    
    J’ai cru qu’elle allait m’arracher les yeux.
    
    Comme on dit, elle aurait eu des mitraillettes à la place, je serais mort mille fois à cette heure.
    
    Mariage pluvieux, mariage heureux, robe blanche pour Véronique et smoking pour moi.
    
    Nuit de noces sans surprise, nous avons baisé comme nous le faisons des dizaines de fois.
    
    Voyage de Noces à Venise, promenade sur les canaux et retour à Paris.
    
    Emménagement chez mes beaux-parents ...
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