1. Piscine du matin


    Datte: 29/01/2021, Catégories: fh, couple, vacances, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Bali balo, Source: Revebebe

    Je suis réveillé par un léger bruit que je n’identifie pas. Il fait déjà jour, la lumière passe bien entre les claires-voies des volets clos. Il fait encore une fraîcheur relative. Un coup d’œil au réveil : 6h30 ! Ce n’est pas une heure pour se réveiller en vacances !
    
    On est bien ici. Nous sommes arrivés hier après-midi, avec nos amis Jean Pierre et Sophie, dans cette magnifique villa qu’on nous a prêtée pour une semaine. Sur les pentes de l’Esterel, face à la mer, avec une somptueuse piscine, c’est inespéré !
    
    J’entends à nouveau le bruit, comme un clapotis dans l’eau. Un animal dans la piscine ?
    
    Je rejette le drap, doucement pour ne pas réveiller Martine qui dort à mes côtés. Elle me tourne le dos, une jambe étendue, l’autre repliée. J’adore cette position qui met en valeur son cul superbe, avec tout ce que cela comporte. Sa nuisette symbolique est par terre, en boule, souvenir d’hier soir… J’hésite à lui poser une petit baiser sur le minou : c’est quand même un peu tôt pour la réveiller.
    
    Je m’arrache à ma contemplation, me lève et m’avance doucement vers la fenêtre ouverte. Je regarde à travers les volets. En fait d’animal, c’est Sophie qui nage dans la piscine, tranquillement. Profitant de sa solitude en cette heure matinale, elle n’a pas mis de maillot. Elle est très belle. Je regarde ses longs mouvements de brasse, pendant qu’elle s’éloigne : elle a de très belles fesses, bien fournies sans être trop grosses, des cuisses nerveuses. Elle revient en nageant ...
    ... sur le dos. Elle des seins superbes, bien denses, pas trop abondants, mais généreux, un ventre plat et je constate qu’elle n’a conservé sur son pubis qu’un minuscule triangle de poils… Elle est vraiment belle. Je m’en doutais un peu, mais maintenant j’en suis sûr, "de visu". Les mouvements de brasse des jambes sont très excitants et je deviens songeur.
    
    Je sursaute en sentant la présence de Martine derrière moi : ses seins sont contre mon dos, son ventre contre mes fesses. Elle me prend par les épaules, regarde à travers les volets.
    
    — Alors, on mate ?
    — J’aurais bien tort de m’en priver !
    
    Elle avance la main vers mon sexe pour évaluer mon émoi.
    
    — Mais tu bandes, salaud !
    — Oh, à peine, je bandouille tout juste !
    — Alors tu vas t’exciter comme un collégien à regarder les femmes nues et après tu espères peut-être te finir avec moi ?
    — Tu fais cela tellement bien, mon amour !
    — Oui, eh bien puisque tu mates comme un collégien, je vais te finir comme un collégien, à la main et sans fioritures.
    
    Et elle entreprend effectivement une branlette rageuse et sans finesse.
    
    — Eh ! Attends, il y a quand même des trucs plus marrants à faire !
    — Non : ce sera ta punition. Et encore, je suis gentille de m’en charger. J’aurais pu t’envoyer te finir tout seul !
    — Chut ! Attends !
    
    J’ai entendu les volets de la fenêtre d’à côté s’ouvrir doucement. Jean Pierre est sûrement en train de regarder sa femme lui aussi, mais ouvertement. Effectivement, Sophie lui fait un petit ...
«123»