Et ça coule coule sur mes cuisses
Datte: 29/01/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jpj, Source: Hds
Moi j’ai toujours aimé ça, la dèche. Le sperme qui dégorge mêlé de mes propres humeurs, fluide et visqueux et qui nappe mes cuisses et mes fesses et inonde fort le lit.
C’est la trace la preuve la vérité de la réalité vraie qui s’est vraiment produite.
Pas un fantasme de rêves érotiques de mitan de la nuit, non, du réel. Pas une carte de France sur le drap de l’ado de douze ans, relique de pensées virtuelles d’instinct de race plus que tendres espérances romantiques.
C’est comme garantie que j’ai bien et bel été baisée à fond et que l’on a été deux à aimer ça, à prendre notre pied, à taquiner les cieux et les anges et même le Bon Dieu là haut.
Qui maintenant nous regardent tous et se marrent.
La vierge Marie, la première, main dans la main de Joseph, le cocu magnifique. Un peu coquine, Marie...
Le foutre du garçon est chaud est bon quand il coule de mon papillon béant, imbibant le velu du bas de fente et s’insinuant tout naturellement par simple gravité le long du périnée pour baigner mon derrière. Et mon cul tout tendre s’ouvre doucement en compulsions lentes de ses deux sphincters pour avaler et se gorger du bon jus de mon ami de mon cher ami de mon très cher ami.
Les spasmes de mon cul sont comme suites continuations de mon orgasme vaginal et disent ma félicité et le bonheur que j’ai de ne rien perdre de l’offrande de mon partenaire.
Partenaire de passage sex-friend, oui ... et alors ?
Rien n’est meilleur qu’une opportunité comme ça en passant ...
... ... et vivre toute une après-midi d’éternité les cuisses trempées du souvenir du plaisir qu’on a pris, comme ça, tout simplement.
Tout simplement. Vous ne pouvez pas comprendre combien c’est bon... Mais si ! Vous comprenez, vous savez vous aussi, toutes, le plaisir d’être trempée du nombril au coccyx et d’en revouloir et de chercher dans les bras du garçon un regain un ultime revenez-y.
On lui fait caresses de thorax à pleines paumes douces et chaudes, manipulation des cervicales dans le cou tel le masseur pro un peu Kiné en thérapie, agacement du gland tout dégarni et porté de tige molle prépuce en col roulé, et tant d’autres choses à même de rendre à la vie le gars désormais réfractaire.
Du bout de la langue on inspecte le méat. Des deux lèvres tendues en avant on avale le gland pour lui offrir la chaleur et la tendresse humide du palais. Un petit va et vient en aller retour sur la hampe en serrant fort au pubis et voilà l’énergie qui revient.
On glisse à l’oreille de l’impétrant qu’on est OK pour faire le boulot tout le boulot et on le grimpe en amazone. Le ventre est tellement accueillant que l’on sent à peine la présence du bitos. En revanche on est en condition idéale pour prendre son pied par frottis du clito à vif et trempé au milieu des poils de l’une et de l’un.
On se penche sur le gars et en un gros palot baveux on lui dit deux choses. D’abord, goûte les arômes du zizi plein de foutre que je viens de sucer, le tien. Ensuite, ami tu es prié de ne pas ...