Kenya 1
Datte: 29/01/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Hâakon, Source: Hds
... sombre et petite veste légère mais pas moulante hélas, enfin pas assez parce que heureusement sa poitrine était vraiment trop volumineuse.
La journée fut très calme, je n'avais pas l'intention de la brusquer, après tout j'avais du temps. Je ne vais pas vous la raconter mais c'était génial, entre les discussions passionnantes sur sa culture d'origine sur des transat dans un jardin vraiment grand ( et mes études elles servaient à quoi ?...) et un repas exotique vraiment délicieux, franchement l'afrique niveau culinaire c'est génial !
La nuit tombant je passais à la douche après elle en homme galant que je suis non sans avoir regardé (vainement....) à travers la serrure. Et la j’eus une terrible surprise. En lieu et place d'un lit elle dormait sur un matelas à même le sol, et en avait installé un autre juste à coté pour moi...et je pouvais pas tenter d'approches raaah ! Niveau frustration c'était le summum.
Donc bref après avoir enfilé un magnifique pyjama recouvert de chiffres (je m'en servais pas normalement) je me glissais dans les draps mais bien loin de nous endormir la belle kenyanne et moi discutions de tout et rien et petit à petit nous rapprochions. Elle était charmante et la ce n'était pas une question de sexe. A un moment ou nous étions quasiment collés j'eus un instinct heureux et lui posait un baiser sur les lèvres. Je sus de suite que je n'allais pas me prendre une tarte monumentale car elle souriait.
Loin de nous jeter l'un sur l'autre nous nous ...
... sommes embrassés doucement, de simples smacks sans bouger les mains, le moment était trop doux pour passer directement au sexe. Ensuite nous en avons eu marre d'être séparés par nos couettes et nous les avons soulevés hâtivement pour aller dans les bras de l'autre et continuer nos bisous. Avec les minutes passants nous avons commencé à viser ailleurs que nos bouches. Les oreilles, le cous, les yeux, bref, partout sans que cela ne dégénère un tant soit peu. Du moins pour le moment.
J'étais juste content d'être contre elle, à vrai dire sentir sa merveilleuse poitrine contre mon torse ne provoqua pas beaucoup d'excitations, pendant 5 minutes et c'était pareil pour elle. Le soleil du printemps se couchait et la pénombre se fit peu à peu dans la chambre, contribuant à augmenter notre désir naissant qui commençait sérieusement à devenir brûlant. Sa peau noire semblait la rendre invisible et je voulais sentir sa peau contre la mienne, j'en pouvais plus de la tenir dans mes bras sans vraiment la tenir, de respirer son odeur sans pouvoir goûter sa peau.
Elle me serrait dans ses bas avec force, ses jambes semblaient frotter les miennes en convulsant sous l'effet du désir. On en pouvait plus, on avait faim ! La tension était juste insoutenable, le désir était tellement lancinant, tellement douloureux. ON VOULAIT BAISER POUR DE BON !
Trop c'était trop ! J'enlevais mon haut avec frénésie le déchirant presque et ma kenyanne peinait à se défaire de son pantalon. Se faisant dans ses ...