1. Coup de chaleur à l'hôtel et au pressing - 3/5


    Datte: 02/05/2018, Catégories: h, fhh, grp, fbi, hbi, inconnu, voisins, vacances, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, double, Partouze / Groupe échange, confession, Auteur: Tembol La Rochelle, Source: Revebebe

    ... censés se faire là le matin, à l’heure de faire le ménage dans les chambres…
    
    Ils étaient au moins cinq ou six dans la chambre d’en face à baiser comme des castors depuis un certain temps. Ça n’avait rien d’étonnant, finalement, pensa Claire. Soudain, elle s’inquiéta :« Si je sens une odeur chez elle… Et moi ? N’ai-je pas aussi une odeur ? Non. Tout de même, tu te fais du cinéma ; et en plus, ça recommence à t’exciter… »
    
    Il y avait là, en effet, de quoi culpabiliser. En avait-elle « trop fait » depuis la veille au soir ? Et quelle différence y avait-il entre sa sensation et ce que Vinciane ou Jean-Pierre sentiraient en l’approchant ?
    
    Ceci ne manquerait pas d’arriver dès leur retour, car à chaque fois ils furetaient toujours un peu partout. C’est tout juste s’ils ne la flairaient pas…
    
    Martine ne disait rien et se sentait visiblement toute penaude d’avoir été vue et reconnue par ses collègues alors qu’elle participait peu de temps plus tôt à des ébats collectifs entre quelques clients. C’était tout à fait imprévu il y avait déjà quelques jours. Ces clients s’étant sans doute aperçus qu’elle travaillait toute nue sous sa blouse le matin, cela les avait peut-être incités à l’inviter à partager leurs jeux.
    
    Seuls quelques sourires entendus et plus ou moins complices furent échangés entre elles, lorsque Martine lui avait remis le trousseau des clefs.
    
    Assise sur un haut tabouret du bar, la directrice du modeste Office du Tourisme de Tigreville sirotait lentement un ...
    ... whisky-coca en feuilletant l’exemplaire duMonde, auquel l’Hôtel d’Écosse était abonné. Elle disait parfois attendre la patronne pour discuter tourisme, mais en fait elle ne proposait jamais rien et buvait toujours plus… Elle venait souvent là dès la fermeture de sa « boutique » à midi, puis disparaissait ensuite, probablement pour aller déjeuner seule chez elle. On la revoyait parfois aussi en fin d’après-midi, si elle ne se trouvait pas dans un autre bar.
    
    Le couple débauché qui faisait du spectacle trente minutes plus tôt arriva aussi pour s’installer à table. C’est en devenant rouge de confusion que Claire les avait reconnus. Personne n’a la même allure en étant nu(e), en pleine action sexuelle, que tout habillé(e) et à la table d’un bar-restaurant. Ils lui accordèrent un sourire pincé en la reconnaissant, puis commencèrent à chuchoter en prenant place à l’autre bout de la salle. Quand la femme croisa ses jambes en s’asseyant en face du bureau de Claire, celle-ci put voir qu’elle n’avait pas de slip sous sa très courte minijupe en jean.
    
    Était-ce une provocation délibérée ? L’accès au bureau de la réception, situé à l’extrémité du bar, était ouvert près de son siège pour y accéder, et la cliente semblait regarder les jambes de Claire, qui s’était installée à la hauteur du comptoir. En réponse, elle écarta doucement les cuisses…
    
    Tandis que l’excitation revenait en elle, Claire était perdue dans ses pensées hautement métaphysiques. Son ami Lindor s’était assis à la ...
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