Coup de chaleur à l'hôtel et au pressing - 3/5
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
h,
fhh,
grp,
fbi,
hbi,
inconnu,
voisins,
vacances,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
double,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: Tembol La Rochelle, Source: Revebebe
... soulevait le kilt. C’était surréaliste. C’est donc en essayant des efforts de volonté pour arrêter ça qu’il faisait attendre tout le monde, sans aucun succès. Alors qu’il commençait à envisager de se soulager par tous les moyens, il entendit parler au salon :
— Ah, Claire ; il n’est pas dégourdi, ton copain. Il en met du temps pour mettre un kilt…
Puis elle décréta soudain qu’il lui fallait du secours. Sans doute Claire avait-elle fait signe que oui car il était déjà trop tard. Elle entra et contempla le kilt soulevé de Lindor…
— Ah ! Je vois le problème : je vais t’arranger ça…
Elle le poussa lentement sans mot dire jusqu’à le coucher à plat-dos sur le lit, puis peu à peu elle se glissa sur lui en écartant les jambes. Naturellement, il la pénétra, puis ils commencèrent à onduler silencieusement jusqu’à son éjaculation en échangeant leur langue à pleine bouche. Elle dégagea un instant sa bouche pour lui dire :
— C’est encore mieux comme ça, n’est-ce pas ? Avec une minijupe, les hommes ne font plus de manières. On soulève un petit peu, puis on va droit au but…
Il ne répondit pas autrement qu’en accélérant sa cadence. Alors elle commença réellement à s’agiter, puis exigea de changer de position : elle voulait qu’il soit soulagé entre ses fesses. Ayant laissé sa partenaire s’installer à quatre pattes, Lindor l’a saisie par les hanches puis, soulevant la minijupe, il la pénétra à sa grande surprise sans aucune difficulté. Elle en avait l’habitude, ça ne ...
... faisait aucun doute. Il fut d’autre part étonné d’avoir l’impression que le fait que lui-même soit en kilt et sans culotte, ça l’excitait encore plus. Il faudra recommencer. Tous les deux oubliaient les autres, restés au salon.
Pendant ce temps, au salon, la conversation venait de s’engager sur un terrain glissant. Claire avait posé une question de fond à propos de la tradition écossaise du kilt pour homme :
— Est-ce vrai que ça se porte sans rien dessous ?
L’intéressé, venu peut-être spécialement pour cela, n’essaya pas de se dérober :
— Oui, c’est vrai. Moi-même je n’ai pas de slip. Aujourd’hui, regardez : la seule entorse à la tradition, c’est qu’il est un peu plus court qu’il ne devrait… précisa-t-il avec son accent à couper au couteau, comme si cela n’avait aucune conséquence sur l’ambiance du moment.
Il décroisa puis recroisa ses jambes en se tournant vers Claire, qui put donc entrevoir ce qu’elle voulait. Par réflexe, elle écarta ses cuisses encore un peu plus en changeant elle aussi de position.
Brigitte s’était resservie un énième verre et avait tout vu. Ni Jean-Pierre, ni le cousin écossais – et encore moins le notaire – ne cachaient plus leur état du moment. Elle constata être seule à avoir une culotte et commençait à s’en sentir gênée. Maître Gilles décida d’en finir. Il lui chuchota à l’oreille :
— L’atmosphère est torride ici, Brigitte ; votre culotte vous met peut-être mal à l’aise. Vous ne l’enlevez pas ?
Il laissa sa main saisir celle de sa ...