Mon Mari et Moi Avons été Forcés
Datte: 28/01/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica
... le goûter. Pour mon clitoris, il avait tous les égards. Il ne le touchait pas directement avec sa langue, mais il stimulait le pourtour du bouton. Puis, il repartait d'en bas pour remonter en passant par mes deux trous.
Mon mari gardait la tête baissée. André, Bernard et Simon continuaient de filmer. J'imaginais ce que donnerait le plan sur mes fesses et sur Jean en train de me faire perdre contrôle. Je ne pouvais pas empêcher mes sécrétions, je ne pouvais pas masquer que mon cul s'ouvrait plus largement à chaque passage. Tout cela serait bien visible sur l'enregistrement.
Jean m'a pénétrée. Je n'ai pas eu mal parce qu'il l'a fait doucement et que j'étais très lubrifiée par sa salive mais aussi par mon propre jus. J'avais conscience d'être dans un état où mes muscles vaginaux n'étaient plus suffisamment contractés pour faire obstacle à la pénétration. J'ai vu que mon mari avait observé Jean entrer en moi. Il semblait accablé mais il ne pouvait pas détacher son regard de sa femme qu'un autre homme prenait devant lui.
Jean était appuyé sur le dos de mes cuisses relevées. Il donnait des coups de reins amples, entrant et ressortant la totalité de son sexe. Il me pelotait les seins et il me regardait dans les yeux. "Tu aimes qu'on te force n'est-ce pas? C'est toujours ce que tu disais dans tes conversations coquines." Je soutenais son regard. Le mien devait refléter toute l'ambiguïté de mes pensées. A chaque fois que Jean ressortait, il marquait une pause avant de ...
... replonger en moi en pressant mes seins avec ses mains. De cette façon, j'en suis arrivée à ressentir un manque quand il était sorti de moi et l'envie qu'il me reprenne. Ca devait se voir sur mon visage. Je devais avoir une expression de plus en plus implorante.
Mon mari, lui, épiait alternativement le va-et-vient de Jean et mon visage. Il semblait très triste. J'aurais dû essayer d'avoir une attitude rassurante, en montrant mon refus ou au moins ma passivité, mais inexplicablement, sa mine avait pour effet de réduire encore ma défense.
Progressivement, Jean a accéléré la cadence et à chaque fois qu'il s'enfonçait en moi, je ne pouvais m'empêcher de souffler, en faisant comme un "hhhhan" de bûcheron. Je me rendais compte que cela devait donner l'impression que j'avais du plaisir. Ce n'était pas le cas, enfin pas tout à fait. Disons que je ressentais de plus en plus fortement qu'on me forçait et que je pouvais de moins en moins m'y opposer. C'était ce sentiment d'impuissance et de domination qui en un sens m'excitait et enlevait toute opposition de ma part.
Jean me pilonnait. Il savait tenir une cadence régulière. Il me regardait toujours, intensément. Il malaxait mes seins. Et puis soudain, je n'ai pas pu me retenir. J'ai senti que je faisais pipi. L'expression est assez inappropriée parce qu'elle évoque un petit filet alors que là, il s'agissait d'un jet. J'ai tout de suite pu m'arrêter mais j'étais terriblement gênée d'avoir perdu le contrôle à ce point. Personne n'avait ...