1. Mon Mari et Moi Avons été Forcés


    Datte: 28/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica

    ... mais branlait avec une cadence légèrement croissante. En même temps, il léchait la colonne, remontant des couilles jusqu'au frein, et là, il le titillait avec le bout de sa langue, toujours en faisant monter et descendre le cylindre dans sa paume. Quand il a senti que le type était sur la montée de la jouissance, il a ralentit l'allure, petit à petit, jusqu'à stopper le mouvement quand il a senti que l'éjaculation était imminente. Il a alors approché le gland de sa bouche et a bravement recueilli le foutre qui giclait au fond de son palais.
    
    Il venait de tailler sa première pipe. Ce ne serait pas la dernière, loin de là. L'inconnu, quant à lui, ne se doutait certainement pas que c'était un homme qui venait de le faire jouir.
    
    Sans délai Jean nous fit permuter. Je me préparais pour ma seconde fellation. Le spectacle de mon mari m'avait sacrément émoustillée. Un sexe noir, de taille respectable au repos se présenta. Je commençait par caresser les couilles et avec l'autre main, je décalottais le gland. Puis je léchais le frein, pour faire durcir le membre, ce qui ne tarda pas. Je dus ouvrir ma bouche en grand pour faire entrer la pine tant son diamètre était hors norme. J'eus envie de me caresser et je rentrais ma main gauche dans ma culotte. Jean se pencha et m'aida à enlever mon slip. Encore une fois, je me suis appliquée à faire sortir le jus le plus vite possible. Je m'inspirais des gestes de mon mari pour perfectionner ma technique et en particulier, j'adoptais le ...
    ... crescendo-decrescendo jusqu'à arrêter totalement mon mouvement au moment suprême. Je fis en sorte, comme P. que la queue me crache au fond. Il suffisait pour cela de la laisser entre les lèvres et d'ouvrir la bouche le plus largement possible. Le premier jet me frappa le dessus du palais. Puis il y en eu d'autres que j'essayais d'orienter vers le fond de ma gorge. Ca me rappelait quand on se badigeonne les amygdales avec un spray. Je déglutis à plusieurs reprises.
    
    Mon mari me remplaça. Jean n'avait même plus à intervenir. Nous étions devenus dociles, si ce n'est consentants, voire même désireux. Mais moi, je voulais savoir si mon mari était excité tout autant que je l'étais. Je lui ai dégrafé son pantalon et je l'ai baissé avec le slip jusqu'au genoux pour voir son sexe. Il bandait. Jean filma cette belle érection qui débutait.
    
    Le quatrième client lui offrait son zob. Cette fois, il ne fut pas timide. Il prit la bite en main, tira sur la peau, sortit le gland et le lécha sur tout le tour. Apparemment notre homme avait dû s'exciter avant de présenter sa queue parce qu'elle était visqueuse. Cela ne parut pas rebuter P. qui au contraire nettoya consciencieusement le pénis. Je comprenais qu'il puisse aimer cela. Pour ma part, je raffolais du liquide pré-séminal, presqu'autant que du sperme lui-même. Puis P. suça, semblant vouloir prendre son temps. Il pompait le dard. Jean lui ordonna de se masturber et il obéit. Je voyais mon mari dans une posture qui ne laissait aucun doute ...