1. Doucement, nous avons tout notre temps


    Datte: 27/01/2021, Catégories: fh, ff, jeunes, couple, ascendant, Inceste / Tabou bain, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, fsodo, init, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    J’ai toujours connu ma grand-mère maternelle vivant avec une femme. Cela ne m’a jamais choquée, même lorsque j’ai compris qu’il ne s’agissait pas seulement d’amitié entre elles. Leur relation ne se basait pas seulement sur l’échange et le partage de pensées. Non, il y avait entre elles l’amour, un amour charnel, physique, sexuel, empreint de plaisirs et de jouissances, même s’il n’était pas dénué de sentiment. J’ai compris facilement et sans heurt, au fur et à mesure du temps, que ma grand-mère, Lucienne, était lesbienne et qu’avec Madeleine, elles formaient un véritable couple.
    
    Madeleine n’avait pas d’enfant, je ne sais même pas si un jour elle avait été mariée, si elle avait vécu avec un homme ou si elle était exclusivement lesbienne. Ce qui n’était pas le cas de ma vraie grand-mère, qui était bisexuelle puisqu’elle avait été mariée et avait eu deux enfants, dont ma mère, Nathalie. C’est au décès de son époux, alors que sa fille avait dix-huit ans, qu’elle avait rencontré Madeleine et que rapidement, elles s’étaient aimées, puis mises en couple.
    
    Aujourd’hui, je les considère toutes les deux comme mes grands-mères, sans distinction entre celle avec qui j’ai des liens de sang et l’autre.
    
    Ma mère n’est pas devenue lesbienne. Je ne l’ai jamais entendue désapprouver ou même juger l’attitude de sa mère. Pour sa part, elle aime les hommes, tout en ne les gardant que peu de temps. Elle avait dix-neuf ans en mai 1968 et a tout de suite baigné dans la mouvance du retour à ...
    ... la nature et de la libération sexuelle. À l’époque, la jeune fille sage commença à passer d’un garçon à l’autre sans vergogne, sans interdit et avec un bonheur absolu.
    
    Depuis, elle a toujours suivi cette ligne directrice, prendre du plaisir avec des hommes et en aucun cas subir l’ennui ou une sorte d’enfermement dans les relations durables. Elle a toujours dit et le clame encore souvent :
    
    — La vie est vraiment trop courte pour se faire chier. Alors, lorsque je commence à me faire chier avec un mec, je le quitte et j’en prends un autre. Car pour dire la vérité, j’aime trop le sexe pour pouvoir m’en passer très longtemps.
    
    Et comme, c’est une très belle femme, avec une poitrine rebondie et ferme, une taille svelte, des hanches fuselées, des fesses à la fois charnues et musclées, avec un ventre plat et une chatte finement taillée, ne gardant d’une petite touffe au-dessus de sa fente bien apparente, elle plaît aux hommes et ses conquêtes sont nombreuses. Il lui arrive parfois d’avoir plusieurs compagnons simultanément, histoire de ne pas connaître de temps mort.
    
    Ainsi, elle a quitté le père de ma sœur aînée, Audrey, alors qu’elle n’avait que neuf mois. C’est le seul homme avec qui elle s’est mariée. Elle dit à ce propos :
    
    — Je suis restée avec lui dix-huit mois : neuf mois pour faire un marmot et neuf pour comprendre qu’avoir à la maison un mec à qui j’appartenais était une chose inconcevable. Si j’avais envie de baiser, il fallait que monsieur soit disposé et si un ...
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