1. Le chemisier rose de Charlotte


    Datte: 27/01/2021, Catégories: fh, fplusag, neuneu, Masturbation Oral pénétratio, inithf, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... dépouillé de toute graisse, se met sur la pointe des pieds et me fait un baiser sur la bouche. Elle sort la langue et la glisse entre mes lèvres fermées. J’ouvre légèrement les lèvres, elle introduit sa langue, je sens sa chaleur, je goûte sa salive mousseuse et légèrement salée, ça me plait. Je sors alors ma langue, elle enroule la sienne autour et m’inonde de sa salive. Je vois ses légers cheveux gris qui laissent apercevoir toute la peau de son crâne, ses petits yeux foncés enchâssés sous un petit front halé, son regard étrange comme la chatte noire des voisins. Ma queue dans une de ses mains devient trop raide, elle la serre de plus en plus, cela me fait mal, mais cela me plait beaucoup. Puis elle se sépare de moi, se met à genoux et présente sa tête à hauteur de mes hanches. Je peux la voir dans le miroir sortir sa langue et la taper contre mon sexe. Plusieurs fois, avant de m’essuyer le tout avec sa langue. De temps en temps, elle pose un petit baiser appuyé sur le gland, juste sur son petit orifice qui suinte des petites gouttes. Puis elle me lèche les bourses et les enduit de bave. Elle les mord légèrement, les malaxe de sa langue de soie. C’est bon, c’est excitant, je suis comblé de bonheur. Puis remontant la langue collée et appuyée contre la hampe, une fois arrivée au bout, elle met le tout dans sa bouche et l’enfonce dans sa gorge. Je sens mon sexe coincé entre les parois raides de son palais dans lequel elle le pousse encore et encore. C’est serré, chaud et ...
    ... palpitant, je commence à frémir. Puis elle recule la bouche, jusqu’à n’y laisser que le gland qu’elle enroule de la langue, puis avale le tout à nouveau. Elle reste ainsi un bon moment, alternant ses gestes, et cela renforce mon plaisir. Puis soudain elle me lâche, se met debout, s’écarte d’un pas, et enlève son pantalon et sa culotte à la hâte. Je suis toujours là, la queue dressée. Son petit corps palpite, elle tremble de partout, affolée. Elle se voit dans le miroir, met une main sur son sexe et dit :
    
    — Tu vois Zozou, tu vois mon corps lisse et palpitant, tu vois ce corps dont aucun homme n’a voulu, c’est pas du gâchis Zozou ? C’est pas du gâchis ? Tu vois cette fente, ce trou, cette grotte humide, fraîche, étroite, et il n’y a aucun homme pour la combler ! C’est pas du gâchis ? Nous sommes pareils Zozou, nous sommes pareils ! Nous avons des beaux appareils mal exploités ! Nous menons le même combat.
    
    Elle se retourne et appuie ses mains contre le mur, juste devant moi, me laissant voir son derrière. Puis baisse son torse, se plie au niveau des hanches et ouvre légèrement les jambes. Elle campe solidement sur le bout de ses pieds, les muscles de ses cuisses et de ses mollets se tendent et sa peau fripée devient lisse et miroitante. Je vois entre ses petites fesses libérées une moule mouillée et béante, avec deux grandes lèvres comme des petits bananes dressées de chaque côté, faisant une espèce de bouche verticale, entourée de poils en boucle, surmontée par un trou noir. ...