Le chemisier rose de Charlotte
Datte: 27/01/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
neuneu,
Masturbation
Oral
pénétratio,
inithf,
Auteur: Zahi, Source: Revebebe
... porte et me dirige vers la salle de bain, je cherche une serviette et un peu d’eau. Mais Charlotte est là, devant le lavabo. Elle a enlevé son chemiser rose et mis sa robe de ménage. Avec nos reflets dans le grand miroir qui couvre tout un mur, nous sommes quatre. Elle me voit dans le miroir. Son regard pointe sur ma queue mouillée.
Charlotte me dit :
— Alors tu l’as fait mon grand ! Je pense que ta maman ne sera pas contente, tu sais ! Oh mon pauvre, oh je te plains, j’aimerais pas être à ta place. Et puis c’est la première fois que je vois ton truc, tu sais ! Oh que tu es beau, tu sais ! De toute ma vie, je n’ai jamais vu un homme aussi beau que toi ! Tes cheveux lisses et ondulés, tes grands yeux verts, tes larges épaules et tes beaux muscles couverts par cette peau blanche et lisse. Et puis cette queue, Zozou, cette queue, c’est un don du ciel, Zozou, c’est un don de Dieu. Je n’ai jamais vu d’aussi grande, Zozou, et encore elle flanche, que serait-elle quand elle se redresse ? un concombre de cinquante centimètres ? un rouleau à pâtisserie ? la plus grande carotte du monde ? c’est fou, c’est fou ! Que tu es beau, Zozou, tu le sais cela, tu le sais ? Hein ! Dommage que tu sois idiot, sinon t’aurais pu te taper les plus belles nanas du monde, t’aurais pu te prendre Claudia Schiffer comme copine de jour, et puis Penelope Cruz pour la nuit, et puis si elles te font chier, tu vas chercher Laetitia Casta, elle te sera toujours fidèle elle, notre Marianne, elle t’attendra ...
... toujours ! Mais quel gâchis ! Mais quel gâchis !
Je tente de prendre une serviette qui traîne sur le plan de marbre à côté du lavabo, mais Charlotte la prend avant moi.
— T’inquiète pas mon grand, je vais m’occuper de toi. T’as peur de ta mère, hein ! Je le sais, elle est dure avec toi, mais c’est parce qu’elle t’aime beaucoup, tu sais ! Depuis ton accident, elle n’arrête pas de pleurer toutes les nuits, elle se sent responsable tu sais, c’est elle qui conduisait la voiture, elle m’a tout raconté. Tu n’avais que quatre ans, elle te ramenait de la maternelle et elle a oublié de t’attacher, c’est ce qu’elle m’a dit, mais j’ai appris par les voisines qu’elle négligeait la ceinture, ta mère, elle pensait que cela n’arrive qu’aux autres ! Et voilà, un gamin qui passe, un coup de frein sec et tu te trouves éjecté sur le pare-brise, la tête en premier, oh mon pauvre, t’avais que quatre ans ! Et puis, tu sais, ils t’ont emmené partout pour te soigner, mais rien n’a pu être fait. T’as été jusqu’en Amérique, mon pauvre Zozou, et d’autres pays, et tous les hôpitaux de France et de Navarre, ta mère n’a rien épargné pour te soigner, elle a vendu ce qu’elle avait, elle arrêté de travailler durant des années, elle t’a accompagné partout où tu allais, elle ne t’a jamais laissé coucher seul dans un hôpital. Elle est très gentille ta mère, Zozou, et elle t’aime énormément, plus que tout. Mon pauvre Zozou, comme tu es beau !
En me parlant, elle trempe la serviette dans l’eau, l’essore ...