1. Aventure en sous-bois


    Datte: 02/05/2018, Catégories: hh, hhh, inconnu, forêt, parking, voyage, intermast, Oral préservati, hdanus, hsodo, Auteur: Balsamo70, Source: Revebebe

    ... sexe que j’avale de mon mieux, je constate qu’un troisième larron s’est joint à nous et qu’il s’agit vraisemblablement du deuxième conducteur déjà arrêté à mon arrivée. Grand, élancé, les cheveux très courts, il est de type créole et il continue à me caresser le fessier avec insistance. Un de ses doigts plus inquisiteur cherche mon petit trou et je ne peux m’empêcher de lui faire comprendre par un soupir que j’aime ce contact. Le doigt tourne autour de ma rondelle avant de la pénétrer doucement et de s’y frayer un chemin qui me fait soupirer.
    
    La ceinture de notre nouvel acolyte s’ouvre alors, un zip caractéristique de fermeture éclair indique que son pantalon est prêt à tomber, et d’un regard en biais je constate que ce dernier vient de perdre le dernier rempart de son sexe et arbore un membre d’une taille plus qu’honorable, long, épais, le gland bien décalotté, et raide comme un bout de bois.
    
    Je comprends très rapidement ce qui m’attend et ce qu’il compte faire quand il enfile sur sa grosse tige une capote et la mouille de sa salive. Toujours occupé à sucer le premier, je sens alors une tige dure se poser sur mon anus et deux mains me tenir les hanches. Une poussée ferme m’ouvre le trou du cul, je gémis, geins, et le gland entre dans mon petit cul. Ça me brûle un peu, j’ai mal, j’essaie de me détendre, sa bite est vraiment grosse et m’ouvre le cul, me déchire la rondelle.
    
    On me tient la tête pour que je m’applique sur ma pipe et on me tient les hanches pour ...
    ... m’enfiler jusqu’à la garde. La bite est maintenant complètement en moi et je la sens m’occuper pleinement les boyaux, c’est bon, je soupire, gémis, j’aime ça, et le va-et-vient commence d’abord faiblement puis avec amplitude, me procurant à chaque mouvement une légère douleur que j’aime et des frissons de plaisirs que je ne peux contrôler.
    
    La bite dans ma bouche grossit encore et je sens à ses mouvements que le moment de l’explosion est proche et je me prépare à la ressortir de ma bouche pour éviter d’en recevoir la jouissance mais les mains fermement appuyées sur ma tête m’en empêchent et c’est dans les râles successifs de son propriétaire que cette bite m’inonde la bouche en saccades tièdes successives. Je suis un peu écœuré mais je ne peux recracher le morceau qui m’occupe la bouche et je finis par avaler cette semence qui coule dans ma gorge.
    
    La queue bien logée entre mes fesses me ramone de plus belle, ma main s’active sur ma bite, j’ai le cul bien occupé et bien défoncé, je suis traité de salope, de pute et je sens soudain dans mon ventre les contractions saccadées d’une bite qui se libère dans la capote au fond de mes entrailles. Il ne m’en faut pas plus pour décharger à mon tour en gémissant de plus belle, répandant mon foutre sur les feuilles mortes.
    
    Après quelques nettoyages et le temps de reprendre nos esprits, chacun rejoint son véhicule à son tour. Je reprends la route, satisfait, comblé mais vidé, le trou du cul encore douloureux, avec un goût très particulier ...