1. Conversion au sexe


    Datte: 26/01/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    Je ne sais pas pourquoi je fais effet aux hommes et cela s'est accentué avec le temps. Je pourrais m'en tenir à l'explication de mon plus vieil amant, un copain de mon père. Celui-ci m'a connu frêle adolescente. Il m'a dépucelé. Il m'est resté comme un père. Il m'avoua quelques années après qu'il m'eut débauché et défloré comme par jeu qu'en impénitent libertin cochon, il faisait de même avec d'autres jeunes filles dont celles de ses amis. J'étais alors fraîche et jolie mais de façon banale. Il put observer cependant tel les autres hommes, l'évolution et épanouissement sensuelle de ma beauté.
    
    Pour dire vrai je n'étais pas portée sur la chose. Là-dessus des copines dévergondées n’étaient pas parvenues à me convaincre. Au contraire je trouvais scabreux que nombre de gens en fissent une montagne. Je fus flattée d'un mariage avec un beau parti de la région. Dans l'euphorie du moment nous nous convainquîmes d’être amoureux et conçûmes dans le mouvement de jolis bambins. Je ne regrette rien. Je fus heureuse. Même je vis avec tout le fatalisme requis mon cher mari collectionner les maîtresses. L'éducation des enfants et une riche vie professionnelle me consolèrent un temps.
    
    Je n'eus pas moins des alertes quant à mon comportement. Je dus à mon vieil et premier amant la première rechute. C'était à la Saint Sylvestre. J'étais sous le coup d'un indéfectible blues. Il est vrai qu'à l'horloge de ma vie, il avait sonné déjà le glas fatidique des quarante ans. Du coup je fus frappée ...
    ... de l'inanité de ma vie. N’avais-je pas fait fausse route ? Tout n'était-il pas nul dans mes choix et mes combats ? Je mesurais la médiocrité voire le néant de mon conjoint. Un type plat, médiocre, égoïste. Il m'avait indubitablement volé mes années. J'avais pris des rides et du poids.
    
    Ce soir-là mon vieux libertin voulut me convaincre. Il me parut ainsi sincère lorsqu'il dit : « Tu as embelli. Tu es devenue une femme majestueuse à la sûre sensualité. Tu ne feras pas accroire que les hommes te dédaignent et ne t'adressent des fois un témoignage d'admiration. » Il disait vrai. Je constatais que je suscitais un certain trouble dans des endroits où se trouvaient des hommes. Ceux-ci se retournaient. Je n'avais plus peur maintenant d'affronter leur regard et même leur adresser un sourire en guise de remerciement. Il faut souligner qu'à cette époque j’avais sacrifié à un autre style.
    
    C'est drôle mais j'avais vaincu les dernières réticences d'une ancienne pudibonderie et nous devions cela à une circonstance des plus singulières. Un soir je m'étais invité inopinément au bureau de mon mari. Je devais comme souvent l'attendre dans la voiture au bas de son immeuble. Cependant une envie de pipi m'obligea irrémédiablement à requérir les toilettes. Je saluais la standardiste et fonçais, empruntant un long couloir menant au lieu idoine. C'est à ce moment qu'une porte s'ouvrit et que fus face à la blonde Magalie, la plus ancienne des secrétaires de mon cher et tendre mari.
    
    Je savais ...
«1234...8»