1. ma première sodomie


    Datte: 02/05/2018, Catégories: Anal Auteur: martekos69, Source: xHamster

    ... rupture. Il se faisait de plus en plus pesant. Je cambrais les reins très fort, quand soudain, sous la pression, le muscle anal s’est relaché et le gland avalé. J’ai poussé un cri et j’ai ressenti comme une douleur. Je me suis mise à sangloter et a transpirer. Inquiet, il m’a demandé si je voulais qu’il se retire. À mon corps défendant, entre deux hoquets, je me suis entendue lui répondre : « Non, chéri reste, continue, encule-moi, encule-moi… ». Comme il ne bougeait plus, j’ai cru qu’il allait sortir. Pourtant, j’ai senti une douce chaleur m’envahir. J’ai repris l’initiative d’un mouvement lascif des fesses. Contrairement à ce que je redoutais, la pénétration s’effectuait aisément. La douleur du début était passée, mes mouvements devenaient désordonnés. Sur un coup de reins violent de ma part, j’ai été littéralement empalée. Sa bite allait et venait en moi avec une facilité déconcertante. Rassuré par mon comportement, il a adopté un rythme régulier. Sa queue, telle un piston, essayait de s’enfoncer le plus loin possible. J’ai glissé une main entre mes cuisses et attrapé ses couilles pour les malaxer. Cette caresse l’a déchainé. J’avais l’impression d’être sa monture, il ahanait. Puis, il est passé du trot au galop. Plus il me pilonnait, plus son membre ...
    ... augmentait de volume, du moins j’en avais l’impression… C’est à cet instant que j’ai atteint le point culminant de la jouissance et que j’ai été balayée par une déferlante. Au même moment, dans un gloussement de triomphe, il a pris son plaisir.
    
    Puis, nous avons basculé sur le côté et nous sommes restés sans bouger. Sa queue était toujours dans mon cul, elle diminuait progressivement de volume. D’un léger coup de reins, il s’est dégagé, m’a retournée et prise dans ses bras, en m’embrassant et me consolant. Longuement après, nous avons parlé. De nos sensations. De la transgression de mon interdit. De notre amour… Il m’a confié qu’il appréciait le présent que je lui avais offert, car pour lui, c’était un peu comme s’il m’avait dépucelée pour la deuxième fois.
    
    Puis, il s’est levé pour aller prendre une douche. Je suis allée le rejoindre. Après, nous nous sommes remis au lit. Il avait ouvert la fenêtre, une pluie d’automne tombait drue. Blottie dans ses bras, les sens assouvis, je baignais dans une douce quiétude, prête à me soumettre à nouveau à ses désirs. Depuis ce jour-là, et pendant celui qui est devenu mon mari et mon maitre ,j adore me faire enculer,jouir de douleur et de plaisir et je coule comme une chienne a chaque fois qu il me le fait
    
    salope M.M 
«12»