1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (28)


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... punirai dans cet ordre. 32, va chercher la badine souple à poignée en cuir. Tu me fais confiance pour ne pas trop te handicaper pour demain ?
    
    — Oui, bien sûr, Monsieur ! s’exclama-t-elle, visiblement choquée qu’il puisse douter d’elle.
    
    Elle fila à la cave et revint une minute plus tard, tendant à Lenoir une longue badine et lui remettant aussi son cadenas. Il se leva, posa le cadenas sur la table basse et fit siffler plusieurs fois la badine.
    
    — 36, en position ! Les mains sur la table basse. Tiens les bords, cambre-toi, écarte plus les jambes ; encore... Parfait. Tu vas recevoir ta punition en silence. Je ne veux rien entendre tant que je frappe.
    
    Le colosse caressa amoureusement les jolies fesses de sa compagne qui frissonna et se tendit inconsciemment vers sa paume. Puis, sans prévenir, il frappa. Dans la pièce, le sifflement de la badine puis l’impact sur la chair résonnèrent. Lenoir se redressa pour juger des réactions de Sandrine ; narines pincées, elle respirait par la bouche à petites goulées. Lenoir reprit la punition à un rythme régulier jusqu’à la fin. Il recula alors d’un pas et attendit.
    
    — Merci, Maître, articula difficilement Sandrine en se redressant, résistant à la tentation de passer ses mains sur ses fesses endolories.
    
    — Reprends la position, 36. 32, en place. Écarte plus les jambes... Ne bouge plus.
    
    La punition dura bien plus longtemps. Les coups s’enchaînaient, marquant durablement et équitablement les deux fesses qui prirent une teinte ...
    ... carminée. Quand elle se redressa, Mélanie sanglotait. Elle remercia Lenoir d’une voix brisée avant de regagner sa place à côté de sa mère. Le visage sillonné de larmes, elle tenta de retrouver un peu de calme en prenant de longues respirations.
    
    — À toi maintenant, Anita. Tu as vu 32 et 36 recevoir leur punition, alors fais-moi honneur et sois digne d’elles. Allez, cambre-toi plus que ça, et écarte bien ; je veux voir ta chatte épilée de soumise. Ce n’est pas parce que tu es ma fille que tu auras un traitement de faveur. Mais comme tu n’es pas aguerrie, je vais frapper par dizaine et marquer une pause.
    
    Il n’attendit pas et commença à frapper, attentif aux crispations des omoplates et des bras de sa fille. Après dix coups, il recula et vit que les cuisses d’Anita tremblaient. Après le vingtième, elle pleurait à chaudes larmes. Au trentième, elle sanglotait sans retenue. Il hésita, mais elle ne prononça pas les mots d’arrêt. Il reprit donc et acheva la série. Anita sembla se dégonfler et tomba à genoux, le front sur la table et les épaules secouées de gros sanglots. Lenoir faillit s’accroupir derrière elle pour la consoler mais se reprit juste à temps.
    
    — Allez, vite ! En position de soumission, ou alors je te donne dix coups de plus.
    
    — Oh non ! Pardon, Monsieur.
    
    La voix d’Anita était méconnaissable ; elle se releva péniblement et réussit tant bien que mal à reprendre sa place près de Mélanie qui pleurait maintenant par compassion. Lenoir les laissa attendre ainsi ...