1. Un Ange, une vraie


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Première fois Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... au creux de sa touffe blonde et de ses chairs tendres.
    
    Ma main était hésitante, prude timide toute en retenue.
    
    Bien m’en a pris car quand mes doigts incursifs furent parvenus à son pubis, je trouvai celui-ci parfaitement imberbe, lisse et fin comme abricot de petite fille. Je pensais, est-il, cet ange, si jeune que ses intimités soient encore totalement vierges de pilosité ou bien a-t-il recours, lui aussi, aux cabinets d’esthétique et autres officines laser qui sévissent ici-bas sur terre ?
    
    Ma main avait plongé de deux doigts au creux d’elle et de ses fluidités. Ma paume sentait parfaitement son bouton érigé comme minuscule sexe mâle tendu tête décapuchonnée toute réceptive toute sensible à la caresse.
    
    Sa vêture était rudimentaire, minimaliste. On comprenait que les tissus ne devaient pas gêner son vol. Aussi ne portait-elle qu’une sorte de chasuble, de petite camisole que les filles d’ici nommeraient nuisette. Mais une nuisette de jour en coton fin blanc assez chaste car on ne voyait rien d’elle en transparences.
    
    Ni les aréoles de ses petits seins non plus que la fente de sa craquette ou même par derrière celle, plus large plus profonde plus sombre entre ses fesses.
    
    Le tissu collait à son poitrail, couvrant ses seins haut par devant tout en dégageant dans son dos les attaches de ses grandes ailes blanches. Deux petites bretelles fines la retenaient aux épaules.
    
    Ses hanches ses fesses son pubis étaient couverts cachés mais tout juste. On voyait que ce ...
    ... vêtement avait été étudié pour ne pas compromettre ses allées venues ses virevoltes dans les airs.
    
    Moi, je pensais, en en bandant déjà d’aise, à sa petite moule toute ouverte à tous les vents.
    
    Je me disais, dans mon for intérieur, c’est tout de même plus sympa d’être ange volant de ses deux ailes, l’abricot offert aux nues plutôt que sorcière assise inconfortablement sur le manche d’un balai, la vulve torturée par le bois sec et rugueux du dit manche.
    
    Elle, l’ange ne parlait pas et restait coite. Elle me matait avec sourire d’aise et profitait de ma caresse des deux doigts plongés dans son ventre, les deux autres glissant dans les plis de son aine encadrant ses grandes lèvres.
    
    Entre deux baisers, elle m’a dit, je suis venue descendue sur terre pour me faire mettre par un garçon beau comme toi. Si tu sais t’y prendre, si la perte de ma virginité s’avère moment sublime comme je veux l’espérer, alors je clamerai haut et fort être ton Ange Gardien.
    
    Peu de tes congénères humains peuvent s’enorgueillir d’avoir un Ange Gardien.
    
    Nous, anges, sommes peu nombreux aux Nues. Tous devons, tous, perdre notre virginité avec un humain et devenons alors automatiquement et pour toujours son Ange Gardien.
    
    Cette quête est pour nous comme rite initiatique, comme baptême, comme droit d’entrée en la grande famille des anges.
    
    Elle était douce et moi je me régalais de tenir sa taille dans ma main. Je pensais mon rêve est un vrai rêve de pays enchanté et la preuve en est que je ...