1. Révolte 04: Jennifer et Laurence.


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... ne peux que constater que dans ses appartements elle a du subir un bon nombre de violences sexuelles....
    
    Nicole et Jennifer sont horrifiées par ce ce qu'elles voient se dérouler sur l'écran de contrôle.
    
    Le gardien chef voyant leurs têtes et leurs mines terrorisées et terrifiées, s'est pressé de déclarer : "Bien entendu avant de l'amener ici on s'est un peu amusés avec elle... Moi bien sur, mais aussi les autres gardiens et aussi quelques prisonniers...
    
    En particulier les numéros de 1 à 4 qui n'ont pas pu résister à l'envie qu'ils avaient de lui défoncer ses orifices..."
    
    A la vue de l'état des orifices sexuels de madame la directrice, les deux autres femmes ne purent que constater que l'homme ne ment pas et que bien au contraire il est assez laconique et bref sur ce que la directrice a déjà endurée et subie...
    
    Laurence voient donc avec effroi ces détenus sur l'image. Jennifer qui ne les connaît pas encore, n'est pas effrayée. Puis la caméra est tournée par le gardien-chef. Là, les deux femmes reconnaissent la directrice, en très mauvaise posture. Nue. Le gardien-chef leur sourit :
    
    - Regardez ce qui vous attends, si vous n'êtes pas obéissante.
    
    Alors la médecin et l'infirmière-stagiaire se concentre sur ce qu'elles voient.
    
    L'ancienne directrice de la prison passe en gros plan à l'écran. Ils la font mettre debout. Un des gardien lui a passé une corde autour d'un de ses poignets, comme s'il voulait lui faire un bracelet. Aidé des autres, il lui font lever ...
    ... les bras. Il attache la corde à un anneau qui est en bout d'une chaîne, qui pend au-dessus d'une poutre métallique. Rapidement, il lui enserre l'autre poignet et il l'accroche aussi à l'anneau de la chaîne. Elle se met alors à sangloter. Ne doutant pas un seul instant de ce qui l'attends, surtout après le viol du gardien-chef.
    
    Les mecs, surtout les prisonniers sont comme fous. Certains sont déjà nus comme des vers, exhibant leurs membres dressés. D'autres n'ont que les pantalons baissés.
    
    Mais tous écrasent ses seins dans leurs mains puissantes. Ils pincent, ils tirent les tétons violacés, meurtris pas les sévices déjà endurés. A nouveau, comme ceux de son bourreau qui l'a dépucelée, des doigts fouillent sa bouche. Ils étalent, mélangent le peu qui reste du mascara et du rimmel de son maquillage avec le sperme récupéré sur son corps, dans ses trous, sur son visage. Le gardien-chef l'a violée plus d'une heure, avant de la laisser à ces hommes. Cela lui donne un air de pouffiasse sous la pluie.
    
    Aussitôt sa chatte et son cul sont pris d'assaut par des mains. On ne saurait dire combien de doigts la fouille, l'explore. Madame la directrice se tortille, en geignant maintenant, au bout de ses bracelets de corde. Elle essaye de s'écarter et d'échapper à chaque main qui la touche. Aussi curieusement que cela puisse paraître, étrangement, elle a encore sur elle la veste de son tailleur qui est grande ouverte et qui a été lacérée avec les couteaux...
    
    Elle a aussi encore la ...
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