Révolte 04: Jennifer et Laurence.
Datte: 25/01/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... bien au contraire.
Il est agrippé, accroché à ses cuisses, il cogne au plus profond du ventre, à chaque coup de butoir.
Il la défonce furieusement, bien profondément.
La directrice a la tête en arrière, penchée dans le vide. Ses cheveux blonds touchent presque par terre. Encore lucide, consciente, elle refuse les queues qui se présentent devant sa bouche, en tournant son visage dans tout les sens.
Alors, très énervés, mais aussi très excités, plusieurs souhaitant se faire sucer, lui ont divisé la chevelure en deux, il ont attaché les couettes ainsi obtenues, aux pieds de la table avec de la ficelle.
La tête ainsi bloquée, il ne reste plus qu'à lui appuyer sur le menton pour lui faire ouvrir la bouche, pour y enfoncer son sexe, loin, très loin dans la gorge.
La directrice déglutit, elle avale, elle bave beaucoup. Elle s'étouffe aussi, elle suffoque. Parfois, souvent même, elle a des hauts le cœur.
Mais rien n'arrêtait plus ses tourmenteurs, devenus fous d'envies, complètement hystériques.
Les couilles lui frappent le nez, les yeux, le front.
Quatre prisonniers se relaient, se succédant dans sa bouche, faisant à chaque fois jaillir des flots de spermes chauds, abondants dans sa gorge, qui lui donne la nausée, le dégoût.
Le noir, s'est libéré lui aussi, dans un dernier coup de rein, il a envoyé son foutre au plus profond de sa victime, par longues saccades.
D'autres, beaucoup d'autres sont venu ainsi la prendre, par devant ou par derrière... ...
... Ne durant pas plus de trois minutes, tant ils sont excités, les couilles pleines, débordantes de spermes/
Des pinces à linges ont été fixées à ses seins et sur ses tétons meurtris.
Puis brusquement, elles ont été retirées, une à une, mais sans les ouvrir.
La peau pincée est tendue, la pince glisse jusqu'à la dernière fraction de seconde, elle provoque une grande douleur tout autour du pincement.
Marijke pleure à gros bouillons, mais ça n'intéresse personne, aucune pitié à attendre d'eux, au contraire ça les excitent encore plus.
La pelle a refait son apparition. Posée sur une autre table, face à ses trous, ils lui enfoncent le manche dans l'anus, bien profond. Un type est même chargé de le faire naviguer d'avant en arrière, de le bouger dans tous les sens.
Le diamètre du manche est très largement supérieur à celui d'une queue, mais tout le sperme emmagasiné, accumulé en elle, est un excellent lubrifiant. Heureusement...
La tête toujours bloquée, la sadique directrice demande pitié, pardon, à chaque fois que sa bouche se libère d'une queue. Mais rien n'y fait. Un des gardiens, toujours très actif, est sorti, il est revenu avec une batte de base-ball . Sans hésiter, il la lui a planté dans le vagin dégoulinant.
Elle est prise en sandwich non pas par des hommes, mais par des outils.
Ça les fait beaucoup rire, beaucoup se moquer.
La femme a eu des soubresauts, elle a vomit du sperme.
Il en coule dans son nez, dans ses yeux, en paquets grumeleux, ...