Descente au Paradis (1)
Datte: 25/01/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Phoroeckx, Source: Xstory
... la boîte de sa mère ; alors, Suzanne, dans un élan d’excitation qui frappe son bas-ventre, se lève pour aller chercher la boîte dans la poubelle. Vérifiant que les rideaux soient bien fermés, elle l’ouvre dans sa chambre, et en sort l’objet en bois : le phallus est vraiment de très bonne facture, et presque réaliste. Suzanne a un mouvement de recul : il est aussi doté de testicules étonnamment gros, qu’elle n’avait pas vus la première fois. La belle quadragénaire rougit : elle se sent très gênée par la situation, d’autant qu’elle peine à en faire le tour avec ses doigts. L’urètre est particulièrement réaliste, et l’on dirait même un véritable trou ; non, c’est un véritable trou. Tout en bois, l’objet est remarquablement réalisé.
Qui peut bien fabriquer ce genre d’objet ? C’est vraiment dégoûtant !
Si elle se le répète, elle ne le pense pas vraiment. En tout cas, elle ne le pense plus ; Suzanne s’étonne de nouveau de ne pas voir de poussière sur l’objet, comme s’il avait servi très récemment alors que le reste de la boîte en est rempli. Étonnamment, on dirait presque qu’il dégage un peu de chaleur. En l’observant, entre ses deux mains, Suzanne sent sa culotte s’humidifier, et une sensation d’excitation s’empare de son bas-ventre : elle lâche l’objet, referme la boîte et la repousse, presque honteuse. Ce doit être psychologique, mais quelle surprise ? Le sang lui monte à la tête, lui ordonnant presque de rouvrir la boîte : elle chasse cette idée de son esprit, et retourne ...
... la jeter dans la poubelle.
Les poubelles devraient passer demain matin, je serai enfin débarrassée de cette horreur.
Mais l’on ne se débarrasse pas de moi comme ça...
***
Quelques heures plus tard, Suzanne est sur les sentiers : Marcel est venu la chercher avec une petite sacoche à la main, s’est changée, et se trouve prête pour vadrouiller quelques heures dans la forêt. Il est vrai qu’elle ne se souvient que de quelques routes particulières, un guide n’est pas de refus. Mais de son côté, Marcel a tout prévu, que ce soit pour le parcours ou... autre chose. Evidemment, la belle quadragénaire ne sait pas qu’elle est à deux pas de tomber dans un piège.
La randonnée est vraiment sympathique : en cette saison, la région est magnifique. L’air n’est pas encore chaud comme en plein été, et une petite brise rafraîchit régulièrement l’air, mais le chant des oiseaux et le bruissement du vent dans les arbres dégage une atmosphère reposante et agréable. Suzanne prend vraiment du bon temps, d’autant que Marcel est très sympathique et aux petits soins pour elle ; cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas sentie aussi importante. Il fait attention à elle, prend de ses nouvelles, s’attarde sur ce qu’elle ressent. Mais le piège se referme, inexorablement, l’air de rien.
Au bout de deux ou trois heures de marches, les deux compagnons passent non loin d’une rivière, de quelques mètres de large. Le chemin passe à l’endroit où elle semble la moins large : de l’autre côté, on ...