1. Astrid et Julia (13)


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... frappe à la porte. « Service d’étage ! ». J’enfile un peignoir et Julia va dans la salle de bain.
    
    J’ouvre la porte et le garçon d’étage entre dans la suite en poussant une table roulante sur laquelle il y a un seau à glace avec une bouteille de champagne, deux flûtes et une assiette de toasts au caviar et au saumon. Je lui laisse un généreux pourboire. Il me remercie et s’en va.
    
    Nous allons sur la terrasse et dégustons tranquillement nos toasts en sirotant nos coupes de champagne. Nous reprenons notre conversation.
    
    — Alors ? Que penses-tu des exploits de ta mère ?
    
    — Alors là, j’avoue que je suis scotchée. Je ne pensais pas qu’elle puisse être aussi accroc au sexe. Elle a failli se faire pénétrer par trois bites en même temps dans la chatte. C’est une affamée. Tu ne dois pas t’ennuyer avec elle.
    
    — Avec toi non plus, je ne m’ennuie pas. Allez viens ! Je vais prendre ton petit cul.
    
    Julia vient s’asseoir sur mes genoux, dos à moi, et enfile son anus sur mon gland. Son petit trou est désormais bien habitué, ça rentre tout seul. J’aime cette position où elle peut s’enculer à sa guise, profondément, pendant que je lui pelote les seins. C’est ce qu’elle fait d’ailleurs. Ses sphincters massent ma bite pendant que je fais pénétrer mes doigts dans sa chatte accueillante. A ce rythme, nous ne tardons pas à jouir tous les deux en pleine harmonie sexuelle.
    
    Il est temps de nous préparer pour le dîner. Pour cette occasion, j’ai prévu de m’habiller dans une même couleur ...
    ... : sweat-shirt à manches courtes, pantalon, et mocassins bleu marine de Massimo Dutti.
    
    Julia, quant à elle, a choisi la couleur verte, accordée à ses yeux, pour son corsage à manches longues au décolleté plongeant carrément au niveau du nombril. Ses seins juvéniles, qui n’ont pas besoin de soutien-gorge, tant ils se tiennent bien, sont à peine cachés par le tissu. Elle porte une jupe ample dans les mêmes tons dont l’ourlet arrive un peu au-dessus du genou. Chaussée d’escarpins Louboutin, sa tenue générale est de grande classe : une vraie femme, pas une gamine. Je vais être fier de l’avoir à mon bras.
    
    Quand nous arrivons au restaurant, l’effet est stupéfiant lorsque le maître d’hôtel nous amène à notre table. Les conversations s’arrêtent, tous les regards des hommes se fixent sur Julia au grand dam de leur épouse ou compagne. Elle s’assoit avec grâce sur son siège. Nous passons commande et le sommelier vient nous conseiller pour les vins.
    
    Un couple d’une trentaine d’années est installé à une table proche. Nous ne tardons pas à faire connaissance. La femme, d’une grande classe, rousse avec les cheveux longs bouclés tombant en cascade, des yeux verts, une poitrine agréable à regarder. L’homme, yeux marron, barbe en pointe, façon « hipster », est de belle prestance.
    
    Ils sont là pour fêter leur anniversaire de mariage. Au fil de la conversation, nous apprenons que Chloé ; c’est le prénom de la jolie rousse ; et Bruno sont mariés depuis deux ans. Ils ont respectivement ...
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