Mamie Louise 09
Datte: 25/01/2021,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Partouze / Groupe
Auteur: Fulvia41, Source: xHamster
... colonne de chair érigée. Elle éprouvait toujours une intense volupté à sentir le mufle dilaté de l’organe masculin se frayer un passage à l’intérieur de sa chatte, repousser les chairs gorgées de suc pour atteindre le fond de son vagin. Là, une fois confortablement assise sur les cuisses de Jérémy, le long dard masculin planté dans son ventre, Muriel laissa échapper un gémissement de plaisir :
— Hummm… Comme tu es long !... Je te sens bien au fond de mon ventre… Tu le sens toi aussi ?
Jérémy ne fut pas spécialement étonné de percevoir une chaleur torride envelopper sa verge. Les nombreux rapports érotiques qu’il avait eus avec sa grand-mère l’avaient habitué à cette sensation étrange. Mais lorsque Muriel, dans un lent déhanchement, entama sa chevauchée sexuelle, le massage de sa bite par les chairs chaudes et humides de la vulve accueillante lui procura immédiatement un sensuel plaisir. A chaque retombée de Muriel sur ses cuisses, il lui semblait que son gland plongeait dans une fournaise intense. La chatte de Muriel lui parut plus incandescente que celle de sa grand-mère, dans laquelle il avait connu les premières chaleurs. Toujours accrochée à ses épaules, la tête rejetée en arrière, sa longue crinière rousse lui faisant comme une étole royale, Muriel déclamait son plaisir d’une voix rauque :
— Oh oui !... Je me régale !... Par tous les saints du Paradis, c’est divin… Ton goupillon me remplit la minette…
Ce langage sur connotation religieuse surprit énormément ...
... Jérémy ; il découvrait là une variété de langage amoureux surprenant. Décidément les femmes avaient une façon bien à elles pour exprimer leurs plaisirs.
Chaque fois qu’elle se laissait retomber sur les cuisses de son jeune partenaire, Muriel sentait avec un plaisir extrême le dôme gonflé du membre viril se frayer son chemin dans sa vulve, tel un bélier défonçant tout sur son passage. Chaque choc du gland contre le fond de son vagin provoquait dans son bas-ventre une onde de volupté qui se répercutait jusque dans ses mamelons. Comme un courant électrique, ces ondes sensuelles se diffusaient dans sa colonne vertébrale, la faisant se cambrer de félicité.
Jérémy, qui percevait une chaude humidité engluer la base de la verge, et lui humecter les couilles, comprit combien sa partenaire se régalait à se pistonner ainsi sur sa queue. Un sentiment de fierté l’envahit, même s’il ne se montrait pas actif ; Muriel faisant tout le travail. Mais ce côté passif lui permettait de fixer avec désir les bosses proéminentes qui déformaient le débardeur de sa partenaire. Celles-ci malgré les mouvements saccadés de leur propriétaire, demeuraient étonnamment stables. Ce détail l’intriguait. Aussi, prenant de l’assurance au fil des gémissements de plus en plus prononcés de sa cavalière, il osa empoigner les alléchantes proéminences. Comme Muriel n’opposa aucune résistance à son initiative, Jérémy pressa avec émotion les deux masses mammaires tachant d’en évaluer le volume.
Flottant déjà dans ...