1. Les amours interdites (1)


    Datte: 01/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... Lentement le garçon, d’une main qui se voulait ferme, poussa sur le côté la culotte d’où dégoulinait encore l’eau qu’elle contenait. Il approcha son museau de ces cuisses largement ouvertes.
    
    Anna aurait dû, aurait pu… mais elle n’en fit rien. Elle se contenta de s’allonger sur le parapet et ouvrit davantage le compas. La bouche qui venait de l’embrasser avait suffi à la mettre dans un état lamentable. Ses sens prenaient le pas sur sa raison. Trop longtemps sevrée, elle basculait dans la fornication pure et simple. Et son Marc lui non plus n’en pouvait plus. Il avait collé ses lèvres pareilles à deux ventouses sur sa chatte et il la léchait avec avidité. Là sur le bord de leur piscine, la mère et le fils se laissaient emporter par un torrent de sensations décuplées.
    
    Cette minette dura de longues minutes et seuls les soupirs de la femme réveillaient la nuit calme. Enfin Marc plongea ces doigts dans cette intimité qu’il avait déjà connue vingt-quatre ans auparavant, pour des motifs plus nobles. Mais là, en cet instant, ni elle ni lui ne discernaient plus le bien du mal. Il ne s’agissait plus que de plaisirs échangés entre un homme et une femme. Des plaisirs bestiaux qui allaient se prolonger jusqu’à l’accomplissement final d’un rite immuable. Le coït devenait inévitable.
    
    Enfin le corps du jeune homme sortit de l’onde et il vint pour continuer la tâche entreprise quelques instants avant. Ses doigts, sa bouche, tous participaient à cette fête des sens, à cet outrage qui ...
    ... en d’autres temps lui auraient paru abject. Il se lovait contre le corps de femme qui gémissait là, sur les dalles de la terrasse. Elle n’était plus sa mère, juste et uniquement l’objet de son plus horrible plaisir. Et comme si elle aussi voulait lui donner raison, elle se contorsionnait sans vergogne. Alors lorsque la bouche féminine happa la trique qui battait son flanc depuis trop longtemps, il accentua tous ses déhanchements.
    
    Dans la nuit les soupirs se mélangeaient, les gémissements s’imbriquaient les uns dans les autres et les cris des deux amants trouvaient un écho favorable dans le ciel sombre. Elle oubliait la bienséance et qu’il s’agissait là du fruit de sa chair. Elle se donnait à corps perdu à cet amant qui lui enlevait toute retenue, toute raison. C’était encore elle, et toujours elle qui, trop avide de ce sexe qui lui avait fait si longtemps défaut, avait abrégé sa pipe pour monter sur lui. Elle l’embrassait alors que la queue de Marc entrait en elle et que la gaine humidifiée au maximum lui arrachait des feulements de lionne. Les deux amants venaient de dépasser le stade de l’amour familial pour gouter au fruit défendu.
    
    — oooOOooo —
    
    Anna était couchée sur son transat. Sur sa peau nue, les premiers rayons d’un soleil renaissant venaient la lécher de leur chaleur. L’aube avait surpris la mère et le fils dans un accouplement pervers. Ils avaient pris du plaisir, mais les regards qui s’ensuivirent ne seraient plus jamais les mêmes. Faire l’amour avec Anna ...