1. Avec Yvette


    Datte: 24/01/2021, Catégories: fh, volupté, Oral 69, pénétratio, totalsexe, Auteur: Lediscret, Source: Revebebe

    ... verge dans sa bouche, ses cheveux caressant ma poitrine, je sens mon plaisir venir. Elle le sent aussi, un ongle caresse mon anus, insiste et me pénètre ce qui me fait exploser. Ses lèvres se resserrent, emprisonnant mon gland et ma liqueur. Je la sens avaler. Sa joue posée sur ma cuisse, ses succions reprennent pour me nettoyer pendant que je récupère mon souffle. Sa caresse se veut très douce. Je colle son bassin sur ma bouche, encore plus, et recommence à la lécher plus tendrement. Je la déguste, le visage barbouillé, gluant d’elle.
    
    Nous nous redressons face à face. Un long baiser nous unit. Nous mélangeons nos saveurs, nos jouissances, nos salives. Baiser d’union… baiser communion… Bisous… Caresses… Nous nous levons.
    
    Nous prenons enfin le café, nus tous les deux, debout, l’un contre l’autre. Nous le ponctuons de bisous, câlins et caresses. Les tasses posées, nous nous enlaçons. Je suis dur et dressé, son pubis se presse contre moi. Elle rompt le baiser et me chuchote :
    
    — J’ai encore envie de toi, viens !
    
    Nous allons dans la chambre, enlacés. Elle tombe sur le lit plus qu’elle ne s’y allonge. Impudique, provocante, elle écarte les jambes, me montrant sa fleur mauve, gorgée de sang et de désir, gluante. L’intérieur des cuisses est mouillé par son désir. Je rampe, je la rejoins, agenouillé au milieu de ses cuisses ouvertes. Du bout du gland, je caresse ses lèvres huilées de son miel. Dans un souffle, elle me dit :
    
    — Pénètre-moi !
    
    Je me guide, m’appuie sur ...
    ... son puits. Son bassin se cambre, elle me fixe dans les yeux. Je la pénètre d’une seule poussée. Ses jambes se referment sur mes reins, ses bras sur mon torse, ses mains dans mon dos. Elle se colle, devient pieuvre.
    
    — Baise-moi fort !
    
    Elle devient pieuvre, m’aspire en elle, cannibale dans ses baisers, femelle réclamant la semence. Je la pistonne violemment. Elle m’excite par ses geignements, l’odeur de sa chatte… Sa tête dodeline, ses talons martèlent mes reins. Mon gland est pilon, je me sens mâle de la dominer de ma queue. Je la baise littéralement, voulant l’assouvir, l’asservir. J’ai envie de la défoncer, de l’éventrer, tellement son amour me bouleverse. Mes bourses gonflées bouillonnent. Je veux jouir avec elle. Des "oui ! oui !" me préviennent de son envolée et un cri strident venu du fond de son ventre me fait exploser en elle, arc-bouté, soudé. Ses ongles sont plantés dans mon dos, son bassin est soudé au mien. Je me vide en elle, elle feule. Je m’effondre sur elle, torse contre torse. Nos souffles s’harmonisent, nous ne bougeons plus. Sa vulve m’enserre, gluante, collante, visqueuse. Je suis bien dans son ventre.
    
    — Mon chéri… Mon chéri… murmure-t-elle tendrement à mon oreille.
    
    Le temps est suspendu. Après le plaisir vient la tendresse. Mon sexe ramolli sort d’elle, c’est le moment des bisous et des câlins. Je lutte contre l’envie de m’assoupir, elle me propose une douche, j’accepte.
    
    Après, on redevient plus amis qu’amants. On rit, on plaisante. Il faut ...