1. Terreur à Ténérife Ch. 04


    Datte: 24/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... pour moi chienne! ...."
    
    - "Je fais tout ce qu'il veut... je copule avec lui et ses amis et même des complets étrangers quand cela l'amuse! ...."
    
    - "Un jour par semaine je me produis dans une boite à strip-tease dans le quartier nigérien et je baise avec tous les clients qui le veulent! ....."
    
    - "Un autre jour dans la semaine je m'occupe des membres d'un club privé... Et je me fais baiser par tous les gens qu'il m'envoie chez moi, parfois je dois tourner dans des films pornos! ...."
    
    Alors que cette pauvre femme expliquait sa vie à Jenny, je la voyais pâlir atrocement.
    
    Elle ne nous laissait aucun espoir.
    
    Elle ne pouvait que subir la vie de viols et de dégradations continuelles qu'on lui imposait, et ce pendant je ne sais combien d'années! .....
    
    Tandis que la femme qu'il appelait « Chienne » parlait, monsieur Smith et ses amis s'étaient levés et avaient entrepris de se déloquer.
    
    Ils se rassirent une fois entièrement nus et monsieur Eng ordonna à Jenny et à « Chienne » de commencer leur prestation.
    
    Rien de nouveau pour "Chienne" je suppose, mais la seule expérience qu'ait eu Jenny avec une autre femelle s'était passée avec cette jeune fille au visage enfantin à Ténérife, sous l'objectif de la caméra.
    
    Cependant elle savait en gros ce qu'on, attendait d'elle.
    
    Elle laissa "Chienne" diriger leur accouplement et elles commencèrent à se gouiner au centre de la salle de réunion face à une douzaine de mecs en rut qui les reluquaient avec ...
    ... concupiscence.
    
    Elle commencèrent par se frotter l'une contre l'autre en se roulant des pelles bien baveuses, puis elles se laissèrent tomber à genoux puis s'étendirent sur le plancher se pelotant tout en s'embrassant.
    
    J'essayais d'être aussi discret que possible en les filmant, enregistrant les plans que je savais qu'ils apprécieraient, mais me tenant aussi loin de l'action que je le pouvais.
    
    Avant bien longtemps elles finirent par un classique soixante-neuf, mais je peux préciser qu'en dépit de leurs efforts, elles n'avaient joui ni l'une, ni l'autre. Elles faisaient cela uniquement pour satisfaire les appétits lubriques d'une bande de noirs qui contrôlaient maintenant leur vie.
    
    Les spectateurs discutèrent pendant un bon moment, mais bientôt ils vinrent séparer les deux femmes et le firent se mettre à quatre pattes cote à cote et ils les prirent deux par deux.
    
    Je remarquais qu'ils les baisaient dans un seul office pendant plusieurs minutes avant de commuter leurs positions.
    
    Avant de gicler, ils avaient tous visité leurs trous au moins une fois.
    
    Lorsque l'un d'eux voulait jouir, il jutait dans la bouche d'une des femmes, lorsqu'ils eurent tous satisfait leurs appétits de lucre, toutes les bites étaient nettoyées.
    
    Leurs chatounes avaient été copieusement utilisées mais était propres, indemne de tout sperme.
    
    On m'ordonna de cesser de filmer, les spectateurs s'assirent en cercle le temps de vider un verre en discutant le bout de gras dans leur langue africaine qui ...
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