Béryl : safari sensuel au Kénya
Datte: 01/05/2018,
Catégories:
f,
fh,
couleurs,
extracon,
vacances,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: JFCorto, Source: Revebebe
... maintenaient dans un état de semi excitation permanent et, de se savoir matée à la sauvette dans sa nudité intégrale, firent naître une boule de chaleur au creux de son ventre qui irradia tout son corps, gonflant ses seins et trempant son sexe. Même le contact de ses propres mains sur sa peau nue la brûlait délicieusement. Le Noir, qui avait cru être découvert, se rassura quand il vit de nouveau les mains de Béryl bouger sur son corps. Mais, à voir les doigts s’attarder sur les pointes de ses seins dardés et au creux de sa toison, il était clair que le savonnage se transformait en caresse.
En effet Béryl, le corps enflammé par le regard du Noir posé comme un aimant sur ses courbes sensuelles, commençait à se caresser, glissant un doigt entre ses lèvres humides et pinçant ses tétons dressés. Entre ses cils mi-clos elle devinait à travers le feuillage le sexe du Noir dressé, épais et noueux, et le ballet de la main qui le branlait. En plein fantasme, elle se surprit à imaginer la tige épaisse glisser au creux de ses fesses et un orgasme soudain la saisit, la laissant haletante, bouche ouverte sur un râle silencieux, déclenchant également la jouissance du Noir. Leurs regards se croisèrent à ce moment et le chauffeur comprit qu’il avait été dupé et découvert depuis le début. Se cachant le sexe d’une main il dégringola plus qu’il ne descendit de l’arbre et s’éclipsa prestement. Un peu hagarde, Béryl finit de s’essuyer, surprise du plaisir qu’elle avait pris à s’être ainsi ...
... exhibée devant le jeune Noir sans en ressentir plus de culpabilité que cela.
Le repas du soir fut expédié rapidement, les convives étant fatigués par leur première journée. Une fois couchée dans sa tente, Béryl eut un sommeil agité, parsemé de rêves érotiques qui la firent se réveiller plusieurs fois, haletante, le corps trempé de sueur. Le matin la trouva alanguie, le corps frissonnant encore de désirs. Au moment de choisir ses vêtements, une pulsion subite l’incita à revêtir une jupe plissée blanche s’arrêtant au-dessus des genoux alors que l’expérience de la veille aurait dû l’inciter à choisir raisonnablement un pantalon pour éviter toute tentation… Mais elle savait déjà que son corps aspirait à de nouvelles caresses…
Effectivement, Jeff prit cela comme un message et s’arrangea encore une fois pour la faire monter seule avec lui. Koné évita son regard quand il reprit le volant, heureux malgré tout qu’elle n’ait rien dit de l’épisode de la douche. Pendant le trajet jusqu’aux animaux, Jeff reprit son manège de la veille, se collant contre elle. Le chauffeur, en arrivant à l’emplacement des animaux, se débrouilla pour s’arrêter à bonne distance des autres véhicules, à moitié caché derrière un gigantesque baobab. En préservant ainsi l’intimité de ses passagers, il espérait que leurs attouchements iraient plus loin.
Une fois la voiture à l’arrêt, Béryl se pencha pour prendre les jumelles qu’elle avait laissées sur le siège et surprit le regard du Noir rivé sous sa jupe ...