1. La détresse de l'aide soignante (6)


    Datte: 23/01/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... accrochées à ses fesses, j’ai tété son bouton sans relâche. Julie, elle, avait une main dans mes cheveux, l’autre dans sa bouche pour s’empêcher de crier trop fort. Une main a quitté ses fesses, et j’ai glissé deux doigts en elle. Je me régalais. Ma langue allait et venait contre son sexe, et je la buvais sans en perdre une goutte. Je n’ai retiré son clitoris de ma bouche que pour lui donner l’autorisation de jouir quand elle en avait envie.
    
    — Merci monsieur, a-t-elle chuchoté entre deux gémissements.
    
    Il a alors fallu attendre moins de dix secondes pour que je sente son corps se tendre, les muscles de ses cuisses se contracter autour de ma tête, ceux de son vagin autour de mes doigts, son sexe se liquéfier encore un peu plus dans ma bouche. Julie a joui avec une main dans la bouche pour ne pas crier et l’autre sur le rebord de la baignoire pour ne pas tomber. J’ai continué à la lécher jusqu’à ce que son clitoris devienne trop sensible et que dans un sursaut elle ne manque de chuter. Je me suis alors relevé et suis sorti de la baignoire pour me sécher, comme si de rien n’était. Julie avait les yeux dans le vide, encore absorbée par l’orgasme.
    
    — Allez, dépêche-toi de sortir, lui ai-je dit, Raymond sera bientôt réveillé.
    
    — Attends !
    
    — Quoi ?
    
    — Je t’ai pas fait jouir.
    
    J’ai lâché ma serviette et ai avancé lentement vers elle. Julie s’était retournée et m’attendait à genoux dans l’eau. Une fois à sa portée, elle a saisi mon sexe, qui était toujours en ...
    ... érection. Elle l’a caressée un instant, lui redonnant toute sa vigueur, avant de l’avaler. Elle a alors posé ses mains sur mes fesses et m’a tiré vers elle, de sorte que je pénètre sa gorge le plus profondément possible. Son nez était écrasé dans les poils de mon pubis, mes testicules étaient collés à son menton. Julie est restée comme ça un petit instant, les yeux relevés vers moi, puis a commencé de petits va-et-vient. Elle a toussé une ou deux fois, bavé beaucoup, mais ne s’est jamais arrêtée. Il m’a fallu peu de temps pour jouir au fond de sa gorge. Contente, Julie a retiré mon sexe de sa bouche et a entrepris de le nettoyer méticuleusement du bout de sa langue.
    
    — Il faut qu’on se dépêche, lui ai-je dit en l’attrapant par la main pour la faire sortir.
    
    Je lui ai ouvert une serviette pour qu’elle vienne se blottir dedans et je l’ai séchée. Puis nous nous sommes rhabillés. Julie m’a demandé de l’aide pour mettre son plug anal, ce que j’ai fait avec plaisir. Je lui ai dit qu’elle n’était pas obligée de l’avoir tout le temps pour l’instant, mais elle m’a dit qu’elle voulait encore me sentir en elle. Elle a ensuite enfilé ses vêtements, en me laissant sa culotte qu’elle estimait hors d’usage.
    
    Quand nous sommes arrivés en bas, Raymond se réveillait tout juste. Il était dix-huit heures, nous étions parfaitement dans les temps. Raymond ne s’est donc pas étonné de voir Julie avec moi dans le salon, il n’a même pas remarqué ses cheveux encore un peu mouillés, et encore moins les ...