Joyeux anniversaire
Datte: 23/01/2021,
Catégories:
fh,
hépilé,
fépilée,
anniversai,
hdomine,
humilié(e),
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
jeu,
attache,
couple,
fsoumisah,
Auteur: Edith, Source: Revebebe
... spectacle.
Cette fois, j’étais gênée. Un peu plus tôt, je me voyais et je le voyais me sucer. Mais là, il y avait son regard, très vicieux, et ma pudeur reprenait le dessus, d’autant que je le voyais me regarder déguisée en pute. En même temps, après des heures d’attente de cette pénétration, je n’en pouvais plus, alors j’ai joui, joui très fort en fermant les yeux. Mais Monsieur avait payé pour que j’obéisse, et en pleine jouissance il me le rappela :
— Ouvre les yeux, regarde-toi jouir, ma putain soumise !
Dès que j’ouvris les yeux, j’explosai littéralement. Un orgasme très court mais hyper intense qui s’accompagna d’une giclée qui se répandit sur les couilles de mon mari, et sur la moquette. Cela m’arrive de temps en temps d’éjaculer, mais là ça battait tous les records. Complètement groggy par cet orgasme, je serais tombée en avant si mon mari ne m’avait pas retenue. Chaque fois que cela m’arrive, je m’écroule à presque perdre conscience, et généralement il me laisse le temps de reprendre mes esprits.
Pas cette fois ! Après m’avoir rattrapée au vol, il me plaça sur le lit, allongée sur le dos, puis remonta mes jambes en m’écartant les cuisses.
— Cette fois, tu ne vas pas couper à une bonne masturbation de ton point G. Tiens tes cuisses comme ça, défense de les resserrer.
— Je n’en peux plus, laisse-moi, s’il te plaît !
— T’es folle, au prix que tu m’as coûté, je veux rentabiliser mon investissement.
J’eus donc droit à deux doigts de sa main gauche ...
... dans mon vagin, pile sur mon point G, tandis que les doigts de sa main droite s’occupaient de mon clitoris. Cela devint rapidement insupportable tant la sensation était forte. Je poussais comme une folle au point que je m’oubliai un instant. Mon mari a horreur de ça, et je lui ai demandé pardon, mais il m’a immédiatement retournée violemment pour me fesser copieusement.
Aussitôt après, et sans que je puisse réagir, il me remit en position pour me masturber. Je sentais que ça me coulait et il me le faisait remarquer, adorant me voir mouiller ainsi. Je me suis mise à hurler en le suppliant d’arrêter. Mais il ne voulait rien savoir et mon corps s’est raidi d’un coup, mes jambes se sont détendues et l’ont envoyé rouler bouler par terre !
Je lui ai demandé pardon mais rien ne l’a fait changer d’idée : il m’a remise dans la même position et il a recommencé. Je hurlais mais il me rappelait que j’avais promis d’obéir et que je devais me laisser faire. Pourtant, c’était trop fort, il fallait que ses doigts quittent mon vagin. Le lit était trempé. Je pleurais de plaisir et de gêne en même temps quand il a enfin consenti à s’arrêter, pour me prendre dans ses bras et me cajoler.
— Tu as joui, n’est-ce pas ? Ne me dis pas que ce n’était pas bon !
— Oui, mais c’est trop, j’aime mieux ton sexe, arrivai-je à articuler péniblement, tant j’étais essoufflée.
Sans me laisser vraiment reprendre mon souffle, il m’a alors couchée sur le ventre, la tête face à la glace, et m’a ordonné ...