1. Joyeux anniversaire


    Datte: 23/01/2021, Catégories: fh, hépilé, fépilée, anniversai, hdomine, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral jeu, attache, couple, fsoumisah, Auteur: Edith, Source: Revebebe

    ... été sans peine. N’étant guère douée pour les détacher et les rattacher, j’ai dû retirer ma jupe et me retrouver devant lui avec tous ces sous-vêtements de pute, ce qui m’a fait rougir. Enfin, j’y suis parvenue et j’ai remis ma jupe.
    
    — Tu es très excitante. Viens, allons dans ta chambre, je veux que tu te voies dans la grande glace.
    
    Une fois là, il m’a fait regarder la glace. Je ne me sentais pas vraiment pute mais je me rendais compte que j’étais très sexy, très désirable ; heureusement que nous étions chez nous car j’aurais rougi de me voir ainsi regardée par tous les hommes. Derrière moi, mon mari me tenait par la taille et avait posé sa tête sur mon épaule droite. Nos regards se sont croisés dans la glace et il m’a fait son sourire qui tue, mi-charmeur, mi-coquin. À ce moment, j’ai frissonné tellement je le sentais contre moi, et j’étais tendue de désir. J’avais envie qu’il me touche, qu’il me prenne…
    
    — Tu es splendide, tu vas allumer tous les regards ce soir, car nous sortons. Je t’emmène dans un endroit chic, où les hommes sont souvent accompagnés d’escort-girl. Tu ne dépareras pas, et je suis sûr que pleins de mecs se diront : mince, j’aurais dû me payer celle-là !
    
    J’étais verte de peur à l’idée de sortir ainsi. Pour moi, les bas résille sont vraiment le symbole de la femme qui se vend. En même temps, j’étais très excitée par son regard de vainqueur, de mâle dominant et possessif. Je me sentais sa chose, et au lieu de me choquer cela me mettait en émoi. Je ...
    ... n’avais qu’une envie, "passer à la casserole" pour employer une de ses expressions favorites, qui me choquait énormément au début.
    
    Enfin, après m’avoir demandé d’enfiler de jolis escarpins, mon mari m’a ouvert la portière de la voiture pour que j’y monte et m’a gratifiée en passant d’une vigoureuse main au cul. Je l’ai regardé d’un air provocateur, sa main m’ayant encore plus électrisée.
    
    Une fois au restaurant, nous avons été installés à une table isolée et le repas fut constitué d’une succession des mets réputés les plus aphrodisiaques : huîtres, saint-jacques, gingembre… le tout arrosé d’un bouteille de champagne brut délicieux dont mon mari me laissa boire la plus grande partie sous prétexte qu’il conduisait, mais dans l’idée manifeste et couronnée de succès de m’enivrer.
    
    Nous étions l’un à côté de l’autre et, malgré les regards appuyés de certains convives en ma direction, il ne se privait pas de passer sa main sous la nappe pour caresser mes cuisses, sans toutefois pouvoir passer sous ma jupe, celle-ci étant un peu serrée malgré ses fentes. Je me sentais gênée et excitée à la fois. J’aurais voulu qu’on soit seuls dans une pièce pour qu’il me prenne tout de suite.
    
    À la fin, j’étais donc un peu pompette lorsque nous sommes repartis. J’étais bien excitée, et dans la voiture j’ai commencé à poser ma main sur ses cuisses. Je l’ai lentement remontée pour sentir si l’excitation était partagée, mais il m’a arrêtée avant que je sente son gourdin sous mes doigts.
    
    — ...
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