Divine offrande
Datte: 23/01/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
couple,
inconnu,
religion,
grossexe,
hépilé,
fépilée,
amour,
intermast,
pénétratio,
init,
confession,
Auteur: Deziles, Source: Revebebe
... je laisse Jussy, une des Servantes Sacrées de notre maisonnée, me dorloter et me parfaire. Mes longs cheveux blond cendré sont artistiquement noués en chignon sur ma nuque délicate, ce qui fait ressortir mes grands yeux verts. J’examine mon visage : nez droit, lèvres joliment ourlées, pommettes hautes, le teint parfait et lumineux, la peau blanche si blanche qu’elle en paraît diaphane.
Jussy me passe sur tout le corps une huile parfumée à la rose qui satine mes courbes, ses mains partent de mon cou, descendent sur mes épaules, mes bras, mes mains. Elle masse maintenant mes petits seins fermes aux aréoles rosées jusqu’à ce que mes tétons s’érigent et murmure ces paroles du Cantique des Cantiques :
— Tes seins sont comme deux faons, jumeaux d’une gazelle…
Déjà elle est sur mon ventre, mon dos et je soupire après sa caresse, elle malaxe mes hanches menues, mes fesses bombées et poursuit tout du long de mes longues jambes musclées, galbées, interminables. Mes pieds reçoivent aussi son inspection sans qu’elle y relève le moindre défaut. Accroupie devant moi elle me fait ouvrir un peu les cuisses et examine mon Sanctuaire. Ses doigts huilés couvrent mon sexe, parcourent ma fente jusqu’à l’anus et reviennent, écartent légèrement mes chairs, n’oublient aucun recoin. J’ai à peine le temps de goûter sa dextérité, et la douce sensation qui s’allume dans mon ventre qu’elle est de nouveau debout satisfaite de son exploration : je suis belle, je suis douce, je suis parfaite.
— ...
... Charles va s’impatienter Inès, il est temps de t’habiller.
Elle me tend une culotte de coton blanc, une robe chemisier, une paire de sandales et je suis prête.
OoO
Je poireaute depuis un bon quart d’heure dans le bureau d’accueil de l’Évêché quand Inès arrive enfin. Sa blondeur et sa tenue immaculée lui font comme une aura de lumière argentée. Elle se coule à côté de moi, glisse sa main dans la mienne et frôle la commissure de mes lèvres d’un baiser.
— L’Évêque Angèle va vous recevoir maintenant, nous annonce la Religieuse de l’accueil, replète créature rousse, en nous précédant dans les couloirs.
Je n’y avais évidemment jamais mis les pieds mais je suis tout de suite saisi par le luxe et la paix qui se dégage de ces lieux. Tant mieux, car même si je ne l’avouerais pour rien au monde, je suis un peu anxieux de ce qui nous attend. C’est la toute première fois que nous nous retrouvons, Inès et moi, pour ainsi dire seuls, depuis que nous nous sommes rencontrés.
Encore un couloir, une porte monumentale à deux battants et nous sommes dans le bureau de l’Évêque, qui trône derrière la plus imposante table de travail que j’ai jamais vue.
C’est une jolie femme, la trentaine, dont les cheveux châtains coupés au carré encadrent un visage en forme de cœur. Son regard noisette est à la fois doux et rieur. Tout en elle me fait penser à un café-crème : petite, mince mais visiblement musclée sous ses rondeurs, la peau couleur caramel.
La pièce est douillette avec de ...