Les 1001 perversions de Nathalie (14) Le Cercle (4)
Datte: 21/01/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Egrewam, Source: Hds
... elle est contente d’échapper à la fessée, bien que, au fond, une part d’elle se sent frustrée.
- Messieurs, j'aimerais bien que vous complétiez mes premiers enseignements. Elle est à vous.
Aussitôt, des mains se précipitent sur Claudia, palpent chaque recoin de son corps. On lui écarte les cuisses. Des doigts fourmillent, forcent son intimité, pincent ses tétons, s'attardent sur les marques de fouet laissées sur sa peau.
Un homme sollicite l'autorisation de Mr. K. pour forcer la bouche de sa nymphette. Il y consent. Claudia est sur-le-champ contrainte d'accepter le membre qui se présente avec violence à ses lèvres, et qui s'enfonce très vite au plus profond de sa gorge.
Elle respire comme elle le peut, suce sous les insultes, pendant que les mains des autres hommes la fouillent sans relâche.
Spectatrice de cette scène, Nathalie n'en peut plus, son excitation est parvenue à son paroxysme. Elle n’a qu’un désir : être prise, pénétrée, saccagée par des grosses bites. La grosse duègne, qui a prit place à côté d'elle sur le canapé, lui caresse l’intérieur des cuisses, lui effleure le con. Nathalie sent son jus inonder sa culotte.
Sa main posée sur celle de la duègne, Nathalie écarte les jambes, guide la main de la femme sous sa culotte. Elle se laisse branler langoureusement. Un homme a sorti sa queue, la donne à sucer à la femme, puis se fait sucer par Nathalie, et la femme se lèche les doigts avant de les remettre dans le con de Nathalie.
Mr. K. intervient ...
... :
- Chère madame, je constate que cette séance vous a plu, je dirais même excitée…
Et s'adressant à la duègne :
- Mariette, déshabillez notre amie.
La duègne lui retire sa robe, la débarrasse de sa culotte, qu'elle tend à Mr. K.
Il la porte à ses narines, la renifle :
- Vous êtes une femelle en chaleur, madame… Mariette, emmenez cette chienne en rut au Salon Rouge, elle n'attend que cela...
Nathalie sent cette tension voluptueuse, cette lourdeur qu'elle connaît bien lui tordre le ventre lorsque elle pénètre dans le Salon Rouge, où les participants, une douzaine, masculins surtout, deux ou trois femmes, déambulent dans la pièce.
On attache Nathalie à une croix de Saint-André. Des bandes de chatterton noir maintiennent ses poignets et ses chevilles au bois, ainsi que ses aisselles et le haut des cuisses. Le point de jonction des branches se trouve juste au-dessus de ses reins.
Sa tête est libre, elle peut regarder autour d'elle. Elle sait que tous peuvent voir sa chatte baveuse, ouverte, sa mouille couler à l'intérieur des cuisses.
Mr. K. fait entrer deux filles, deux prostituées vu leur allure. Deux bombasses avec des seins énormes, un cul énorme, des jambes interminables. Elles sont parfaites, toutes les deux.
On éteint toutes les bougies, sauf celles qui éclairent la croix, et on lance une musique lancinante, un jazz lourd, répétitif, sex. Les filles s'embrassent, se caressent, puis s'intéressent à Nathalie.
Elles lui lèchent le cou, les ...