1. Mûres32/dans les vestiaires, une vieille se fait e


    Datte: 21/01/2021, Catégories: Mature, Hardcore, Auteur: langauchat, Source: xHamster

    ... de main. Je ne me souviens pas d'avoir fourré l'anus de Brigitte sans qu'elle se soit, tôt ou tard, graissé la rondelle.
    
    C'est tellement touchant, une vieille dame qui se prend une bite dans le cul.
    
    C'était l'heure de partir. La chatte bien défroissée, sa vieille matrice ayant fait le plein d'huile de couilles, Katharina voulait être à la maison avant le retour de son mari.
    
    Après quelques baisers fourrés au moment du départ, j'avais soudain encore envie d'elle.
    
    que faire? Elle ne voulait plus se déshabiller, elle était déjà toute prête, toute maquillée. Le masque de la bourgeoise, après s'être fait secouer sous les coups de bite, était réajusté.
    
    Je l'entraînai donc à la salle de bain, sortit mon engin, et commençai à me branler sur le bord du lavabo.
    
    Pendant ce temps là, Katharina me fourrait la langue dans la bouche, et du coin de l'oeil, regardait ma main s'activer sur la queue. Toute excitée, elle sentait que j'allais jouir.
    
    Sa langue s'enfonçait dans ma bouche. J'envoyai de bonnes coulées blanchâtres sur l'émail, ce qui arracha à Katharina quelques soupirs spontanés de satisfaction.
    
    Elle avait peu d'occasions de me voir gicler, contrairement à Brigitte ou à Marlène qui, de temps en temps, après une branlette face à face, demandait à voir jaillir mon foutre sur leurs seins ou sur ...
    ... leur langue.
    
    Ah, Brigitte, élégante grand-mère putain, la chevelure blonde en bataille, comme une sorcière, la langue tirée, prête à recevoir sa dose de sperme, comme un médicament!
    
    Katharina n'était pas seulement relâchée dans ses formes (qui gardaient de l'élégance à cause de sa taille élancée). Elle se laissait faire comme une poupée.
    
    Alors que nous étions au bains thermaux, je lui lançai, sans préambule:
    
    -Maintenant, j'ai envie de te la mettre.
    
    Aucune discussion, la distinguée bourgeoise sort de l'eau, reprend sa serviette de bain, et nous descendons d'un étage, dans les cabines du vestiaires.
    
    Enfermés dans la même cabine, sans aucune insonorisation, nous nous préparons à une discrète pénétration, alors que des familles occupent les cabines voisines, parfois à quelques centimètres de nous.
    
    Debout, je m'agrippe aux hanches molles et veloutées de la dame mûre, et je l'enfile avec vigueur, au milieu des cris d'enfants, des interjections en tout genre des baigneurs qui nous environnent, et qui ne savent pas qu'une digne femme mûre est en train de retenir ses gémissements. Cette bite qui pulse dans son vagin, c'est en ce moment le seul élément vraiment tonique et ferme de son corps. Mais qu'est-ce que ça lui fait du bien de se faire mettre une ou deux fois par semaines en plus de son mari! 
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