1. Mes cousines... et moi ! (1)


    Datte: 21/01/2021, Catégories: h, fffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, bain, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, jeu, init, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... écartées, me montrant ce que je ne soupçonnais même pas, les lèvres, le trou dans lequel son doigt glissait si facilement et ce petit bouton tellement sensible. Je leur dis, puisque nous n’avions guère de tabous, que j’adorais voir leurs sexes ou simplement apercevoir leurs petites culottes.
    
    — Nous avions remarqué, cousin !
    
    Je leur dis aussi que souvent le soir, dans ma chambre, repensant à ce qu’elles m’avaient montré tout au long de la journée, je me soulageais tout seul.
    
    — Montre-nous, dirent-elles de concert.
    — Et vous, les filles, ce bouton si sensible, je suis sûr que vous l’utilisez pour vous faire du bien !
    — Montre-nous.
    
    Cette conversation m’avait amené à une position qui me préparait à ce qui allait suivre.
    
    — D’accord, si vous me montrez d’abord, puisque vous avez déjà vu ce qui se passait pour moi.
    
    Et c’est là que j’eus droit à un spectacle qui, aujourd’hui encore, me fait rêver. Mes trois cousines se caressant pour moi, devant moi, sur le lit où elles étaient allongées. Ce spectacle m’avait tellement émoustillé que je n’avais pas attendu qu’elles me regardent pour entreprendre ce qu’elles m’avaient demandé. Je m’approchai du lit, me mis debout entre leurs corps et répandis mon sperme sur elles. Elles se le disputaient, se badigeonnant avec. Quelle soirée ! Douche collective, bataille avec des verres d’eau, séchage et chaste bisou à mes trois reines.
    
    * * * * *
    
    Grand-père avait quelques arbres fruitiers et les adultes nous chargèrent d’en ...
    ... récolter pour la consommation de la famille. Ce que nous fîmes avec plaisir. Nous allâmes d’arbre en arbre et les filles, décidant de tout, me demandèrent de tenir l’escabeau tandis qu’elles grimpaient, tels de petits singes dans les branches avec de petits paniers. D’en bas, toujours cramponné à mon escabeau, je me tordais le cou pour voir sous les jupes des cousines qui, me connaissant, faisaient tout pour me faciliter la vue. Les culottes petit bateau avaient depuis longtemps fait place à de belles petites culottes autrement plus érotiques pour le grand dadais que j’étais. Descendant d’un des arbres, elles coururent en riant derrière un buisson et revenant en riant, elles me dirent :
    
    — Regarde bien cousin !
    
    Quelle surprise et quelles coquines ! elles s’étaient cachées derrière le buisson pour enlever leurs culottes et pour m’en faire la surprise. Et ce fut un festival. C’était à celle qui ferait le plus grand écart, prendrait les poses les plus téméraires. Je me régalais, bien sûr lorsqu’elles me demandèrent de me reculer mais de ne pas les quitter des yeux. Et là, mes trois cousines, parfaitement à l’aise, se mirent à uriner, debout, jambes écartées, ne me quittant pas des yeux. Ce fut fantastique. Je revins tenir l’escabeau pour qu’elles redescendent, ce qu’elles firent et, les unes après les autres s’arrangèrent pour que ma tête se retrouve sous leurs jupes, se tournant pour que mon visage effleure leur sexe. Je me prêtais volontiers à ce jeu laissant mes mains ...