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Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (3)
Datte: 01/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... j’approche ma coupe de l’un de ses tétons. Sous le froid de celle-ci il se dresse. Le second subit le même sort. Je pose ma coupe et je les prends entre mes doigts pour les faire rouler. J’alterne les pressions et les griffures. Je vois que ça lui plait car elle tombe rapidement en pamoison. Il est temps de passer à autre chose de plus violent. Cette fois-ci je les tords. Elle crie que ça lui fait mal. Je lui rétorque que ça ne fait que commencer et pour avoir protesté elle mérite une punition. Pour cette première désobéissance, ce sera dix coups de fouets. — Tu vas me déchirer mes mamelles avec un tel traitement ! argumente-t-elle en tentant de m’amadouer. — Mais non ! Tu te souviens de Julie qui venait souvent ici il y a un an ? Je lui fouettais les seins tous les jours et elle aimait ça. — Oui je l’entendais crier sa jouissance. Je croyais que c’était sous tes coups de queue. — Et non c’était des coups de martinet. Je la laisse debout en attente et je me dirige vers le dressing d’où je reviens avec ma boite à malices. Je l’ouvre en grand devant ma petite sœur. Elle en découvre le contenu. Des godemichets de toutes tailles, des boules de geishas, des pinces et des étaux que je compte poser sur ses mamelons, des martinets et des paddles. En voyant cet ...
... attirail je la sens curieuse et effrayée à la fois. Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Je prends en bouche son téton droit que je tète bien pour le faire durcir et j’approche la première pince que je mets en place. Léa pousse un cri, vite suivi par un autre celui de gauche ayant eu droit au même sort. Une fois équipée, je vais la flageller dix fois comme promis. Puis, la libérant des pinces, alors qu’elle pleure à chaudes larmes, je lui demande de se baisser et d’enserrer ma bite avec ses deux nichons. Je vais alors me branler entre eux et je ne tarde pas à éjaculer toute ma semence en jets de foutre très puissants qui viennent inonder son visage et sa poitrine. Je la relève ensuite et je la prends tendrement dans mes bras. Nos bouches se rejoignent dans un baiser fougueux. Elle me regarde alors et dans un souffle me dit juste : « Je t’aime ». Par ces mots ma petite sœur me signifie qu’elle est désormais toute à moi. Nous dinons rapidement et retournons nous coucher. Plusieurs fois dans la nuit je l’ai baisée sauvagement, j’avais tellement envie d’elle. J’avais exprès pris du Cialis pour être plus endurant. Je ne lui ai laissé aucun répit. Sa chatte, sa bouche, son cul se sont fait pilonner. Elle demandait grâce mais je remettais le couvert à chaque fois.