Une Testeuse sachant tester - Histoires de Sexe

Une Testeuse sachant tester

... Impensable ! Il parvint à se contenir mais cette idée qui venait de lui traverser l’esprit avait décuplé son excitation. Il ne parvenait plus à chasser cette image de son sexe coulissant entre les fesses de Birdy. Lui qui, comme tous ses concitoyens, n’avait jamais touché une autre personne ! Comment était-ce seulement envisageable ? Il savait pourtant qu’au moindre contact il serait foudroyé par la maladie, que des pustules le recouvriraient en moins d’une minute et que l’asphyxie le rayerait de la carte aussitôt : c’était écrit dans tous les manuels et c’était la première chose que les parents inculquaient aux enfants. Il s’en fallut de peu qu’il brave pourtant ce danger pour la seule satisfaction de goûter quelques instants au pur bonheur qu’on devait ressentir à « sodomiser ».

Heureusement, Istéon allait bientôt lui permettre de penser à autre chose.

— Comment procède-t-on ? demanda Britaly.
— Eh bien, il semble que la position la plus adaptée soit celle dite de la « levrette ».

Les animaux domestiques ayant disparu depuis plus d’un siècle, ni Britaly ni les autres ne connaissaient ce mot étrange.

— Vous devez vous mettre à quatre pattes, précisa Istéon.

Britaly ne bougea pas.

— À quatre pattes ?

À court d’explications, Istéon estima à raison qu’il serait plus rapide de lui faire la démonstration ; il adopta la position.

— Comme ceci.

Britaly l’imita aussitôt.

— Me voici en « levette » ! proclama fièrement la Testeuse.
— « Levrette », ...

... corrigea Istéon. C’est parfait.

Il s’agenouilla derrière elle et passa les doigts entre les lèvres, toujours ruisselantes, de Britaly avant de commencer à les introduire dans son anus.

— Ici aussi, il faut y aller progressivement.

Britaly acquiesça, un peu surprise des effets de l’introduction de ce doigt dans son anus.

— Ce n’est pas très agréable, dit-elle.
— Certaines femmes n’aimaient pas cette pratique. Voulez-vous que j’arrête ?

D’une même voix, Britaly et une vingtaine de spectateurs crièrent :

— Non !
— Très bien. Je poursuis.

Reprenant régulièrement un peu de lubrifiant à la source, Istéon s’appliqua à dilater l’anus de Britaly qui, après quelques minutes, lui parut apte à recevoir son pénis. Il le présenta après l’avoir recouvert de la cyprine de sa partenaire. Après une légère résistance, il parvint à introduire le gland, et lentement finit par l’introduire entièrement. Il ressentit un étrange bien-être, une réelle excitation, de voir son pénis disparaître ainsi en elle puis réapparaître. Britaly commençait à se cambrer sous ses mouvements.

— Plus long… gémit-elle.
— Vous êtes sûre ?
— Oui !

Istéon s’exécuta, allongeant son pénis de cinq centimètres qui furent aussitôt engloutis.

— Encore !

Une nouvelle fois, il ajouta quelques centimètres. Les yeux rivés sur l’écran retransmettant la vision d’Istéon, on admirait à présent les trente centimètres de son pénis entrer et sortir de l’anus de Britaly avec une aisance insoupçonnable.

— ...