Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (4)
Datte: 20/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... a refusé, elle ne voulait pas qu’il y ait de gâchis.
— Alors est-ce que tu as aimé?
— Est-ce que tu désires que nous sortions ensemble ?
J’avais effectivement beaucoup aimé la prestation, mais je ne savais pas comment lui dire que je ne me voyais pas sortir avec elle sur le long terme. Nous étions soi-disant ensemble, que depuis quelques jours, et elle venait de me faire un plaisir total dans un petit coin isolé de la fac. Elle avait avalé ma semence comme du petit-lait, j’étais assez impressionné par la banalité qu’elle voulait donner à l’acte qu’elle venait de me pratiquer. Sophie a été tellement insistante, que j’ai fini par accepter que nous fassions un petit bout de chemin ensemble. Comme dirait la comique Florence F., au fond de moi je me disais que ce serait un tout petit bout de chemin, un "cheminounet".
Sophie avait une fâcheuse tendance à griller les étapes, et c’est ainsi que le lendemain soir, elle tapait déjà l’incruste à la maison. Cela faisait grand plaisir à ma mère de me voir avec une fille, elle qui commençait à désespérer. Quand ma mère est venue me chercher dans ma chambre, en me disant qu’une grande et jolie fille m’attendait à la porte, j’étais un peu déstabilisé. Je suis allé la chercher, lui ai présenté ma mère mais ensuite et surtout ma chambre, je me sentais très mal à l’aise, mais Sophie, elle, se sentait comme chez elle. Elle a balancé son sac sur mon lit puis est venue voir sur quoi j’étais en train de travailler, à ce niveau-là nous ...
... étions sur la même fréquence car nous suivions le même cursus.
— Alors tu ne patauges pas trop en cours.
— C’est dans cette chambre que tu te fais des petits plaisirs.
Décidément elle savait me mettre mal à l’aise. Je lui ai expliqué que c’était un peu dur en maths, mais qu’une voisine me donnait un coup de main. Elle m’a expliqué que j’avais de la chance, car pour elle aussi, les maths étaient sa matière la plus dure. Elle a regardé son téléphone pour voir l’heure, et moi j’ai regardé mon radio-réveil dans le même but.
— Tu manges à quelle heure ?
Je lui ai répondu qu’en général ma mère venait me chercher vers vingt heures pour que nous dînions devant la télé.
— Cela me laisse un peu de temps pour que je te fasse un petit plaisir, si tu le désires.
Cette fille qui jusqu’à maintenant me paraissait hautaine, et du coup fortement dissuasive, ne pensait finalement qu’au sexe. C’était une grande blonde, aux yeux bleus, qui devait sans doute venir d’une famille très aisée. Tout le monde aurait été fier de se faire ainsi draguer par cette fille, mais sa façon de griller les étapes me faisait perdre la face. Voilà comment ce soir-là, elle a fermé à clé la porte de ma chambre, elle m’a fait lever de ma chaise de bureau pour aller me renverser sur mon lit. Le temps que je me redresse pour me retrouver assis sur mon plumard, elle était déjà en train de me libérer le sexe. Je repensais à toutes ces filles qui mettent quinze plombes à se décider, Sophie c’était le ...