Ma soeur Houda (4) - Histoires de Sexe

Ma soeur Houda (4)

... tout aussi facilement, tellement il était encore imprégné de son sperme. Au bout d’un moment que je ne saurais mesurer, les deux se mirent à éjaculer chacun son jus. Je me sentais inondée par-devant et par-derrière. Cela avait été une infernale séance de plaisir au cours de laquelle tout le monde gémissait, et haletait.

A un moment, Soltane me proposa de m’enculer à son tour.

— Tu es fou ? Mais tu vas me déchirer le cul avec ton engin ?

— Mais non mais non, je vais y aller doucement, ton cul est très bien lubrifié du sperme de Hichem et tu verras que ça va passer comme une lettre à la poste.

— Ho mon Dieu Soltane, s’il te plaît, t’es trop gros et ça va me faire mal.

— Je t’assure que non, fais-moi confiance.

Je me mis malgré moi à quatre pattes en imaginant, salope que je suis, toute cette masse dans mon cul et tout le plaisir que j’en ressentirais. Soltane s’approcha de ma croupe, plaça son gland à l’entrée de mon cul et commença à pousser doucement. Je ressentais de la chaleur et une agréable sensation de mon cul en contact avec cette masse de chair. Je me sentais quelque peu écartelée, mais sans douleur. Soltane avait fini de pousser entièrement sa queue ...

... dans mon antre et commençait un long va-et-vient.

Je me sentais toute pleine avec un intense plaisir m’envahissant le ventre, je me touchais la chatte et le clito pendant qu’il me baisait le cul. Au bout d’un moment, je sentis la chaleur de son sperme s’étendre le long des parois de mon cul, tandis qu’il me serrait la croupe tout contre lui, ses mains agrippées à mes hanches. Il ressortit et je sentis son jus qui dégoulinait jusqu’à ma chatte. Je me touchais le cul et m’aperçus qu’il était vraiment évasé.

Je ne sais combien avait duré cette séance à trois. J’en avais perdu conscience, tellement j’étais envahie par le plaisir. Je sais seulement que j’étais partout pleine du sperme de Soltane et de Hichem, j’en avais même sur les seins, avec son goût dans ma bouche.

— Ha, mais t’es vraiment une belle pute, s’exclama mon frère, dont la bite était aussi dure qu’un morceau de bois avec son gland tout violacé, laissant voir une traînée de liquide le long de sa hampe.

Il me la mit aussitôt dans la bouche et se mit à me baiser jusqu’à ce qu’il gicle plein de sperme chaud que j’avalais au fur et à mesure. Il râla et s’affala sur le lit. La nuit promettait d’être longue...