Jackie : Partie 01 - Histoires de Sexe

Jackie : Partie 01

... pull rouge que Paige m'a pointé. Il est fait d'un fin lainage. Je le mets pour réaliser que son large col laisse voir mes clavicules ou une de mes épaules. Le pull est court et avec la taille haute du pantalon. Il allonge mes jambes. Les manches moulantes sont si longues qu'elles me couvrent jusqu'aux jointures. Finalement, le pull complète l'apparence féminine des pantalons. Je rougis et je me dis que ce look est vraiment improbable. Je ne peux m'imaginer sortir de la boutique habillée ainsi. Mais en même temps, ces vêtements m'excitent. Encore une fois, Paige ouvre la porte sans m'avertir. Elle a deux boites de souliers dans les mains. Elle me fait un grand sourire.

— Magnifique! J'adore.

— Mais Paige... C'est... je ne pourrais...

— Tu ne pourrais quoi, mon chéri?

— Je ne pourrais... C'est inconvenant... Je suis ridicule.

Je bégaie tant je suis nerveux. Mon conflit intérieur me rend dysfonctionnel. Je suis incapable de penser rationnellement et de m'expliquer convenablement. Paige avance vers moi. La jeune femme arrive dans le cadre de la porte sans réaliser ce qui se passe. Je la regarde dans les yeux. Elle semble trouver tout cela si normal.

Paige est près de moi. Elle regarde directement en direction de ma queue tuméfiée qui est placée à la verticale sous la couture du pantalon. Elle allonge son bras lentement. Elle appuie avec l'ongle de son index à la base de ma queue puis très lentement elle le fait remonter jusqu'au bout de mon gland. Je la ...

... regarde en rougissant furieusement. La jeune femme semble amusée de ce qui se passe. Elle s'appuie contre le cadre de la porte pour bien nous observer.

— Chéri... Tu es magnifique. Ce style te va si bien. Et ton corps te trahit. Même si tu ne veux l'avouer tu aimes ce que tu portes. Mais je comprends que tu as besoin d'un peu d'encouragement et je vais te l'offrir. Est-ce que cela te plairait?

Je la regarde. Je me sens tellement ridicule. La jeune semble vouloir m'encourager en opinant de la tête et en me souriant. Je fais un sourire nerveux à ma femme même si je n'ai aucune idée de ce qu'elle veut m'offrir. Je bégaie difficilement une réponse.

— D'ac... d'accord. Oui.

— Bien. Donc, si je t'offre quelque chose que tu désires ardemment depuis longtemps, tu vas accepter que je sois la seule responsable de ton style jusqu'à notre retour à la maison.

J'essaie de penser rapidement. Je réalise que ce qu'elle me demande n'a pas beaucoup d'impact puis que dans quelques heures nous serons de retour à la maison. Et quelque chose que je désire ardemment, bien que je n'ai aucune idée de ce que cela puisse être, me semble une bonne monnaie d'échange pour quelques heures avec une apparence improbable.

— Oui... Oui!

— Tu ne vas pas rechigner et je vais pouvoir tout choisir.

— Oui!

— Bien. Veux-tu savoir ce que je veux t'offrir, ou préfères-tu avoir une surprise?

Ma tête tourne. Je veux lui donner la réponse qu'elle désire.

— Je ne sais pas. Choisis.

— Très bon ...