1. Maman...pourquoi es tu aussi salope ? (6)


    Datte: 19/01/2021, Catégories: Zoophilie, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Henriette Délos était prof d’électro-mécanique, poste rare pour une femme. Elle laissait tous les enseignements “doux”, selon elle, à ses collègues féminines. Elle, ce qu’il lui fallait, c’était enseigner du concret, du dur, du tactile. Et c’est vrai qu’ Henriette de façon générale, aimait tout ce qui était “dur”, et elle était très tactile aussi. A commencer avec ses échanges humains, avec les personnes qu’elle appréciait !
    
    Parmi ces personnes, son supérieur hiérarchique, le proviseur du lycée, Serge Vernon, qui avait l’immense avantage d’être le mari de Josiane Vernon, la petite femme au foyer qui venait de se dévergonder. Mais cela il ne le savait pas, pas encore du moins !
    
    Henriette s’occupait de la classe de terminale dont personne ne voulait, celle de” la dernière chance”. Il s’agissait d’essayer de faire passer au moins un bac technique à des lycéens de 20 à 22 ans maximum, qui avaient ramé pendant toute leur scolarité en lycée. Cela lui permettait d’avoir dans sa classe des petites racailles tels que Mario et sa bande, quelques années en arrière déjà, ainsi que des branleurs, des filles délurées et des détraqués de tout type. Henriette arrivait à gérer cette “faune”, dont elle attirait quelques représentants, hommes ou femmes , suivant ses envies du moment, dans ses rets.
    
    Alors les deux heures de rattrapage intensif, dont elle s’occupait en personne, devenaient profitables à la fois pour elle et ses élèves...leurs résultats remontaient tout à coup ...
    ... miraculeusement. Tout le monde dans le lycée, à commencer par le proviseur, louait la “”méthode Délos”, qui restait quand même relativement mystérieuse aux yeux des nouveaux profs ou des naïfs. Car chacun savait qu’ Henriette Délos savait “ donner de sa personne” pour motiver ses élèves !
    
    Malheureusement pour elle, la satisfaction du proviseur à son encontre ne dépassait jamais les limites des bonnes mœurs ...
    
    Henriette ne cessait d’allumer son proviseur, elle voulait se le faire… pourquoi ? Josiane levait les yeux au ciel quand elle y pensait . Ah, si elle avait su quel piètre amant il faisait ! A moins que ce ne soit pour le tableau de chasse : après l’intendant, le sous directeur, le CPE, la petite secrétaire des archives...et oui, Henriette était bisexuelle et elle l’assumait pleinement… le proviseur ?
    
    Car Josiane n’était pas dupe, elle avait bien vu le manège de cette brune méditerranéenne de 44 ans, mince avec une petite poitrine, un joli petit cul, mais un toupet énorme. Elle savait que l’autre rêvait de se taper son mari, mais elle s’en foutait ! Elle lui souhaitait bien de la patience et du plaisir...certainement pas !
    
    Josiane s’amusait souvent à lui faire de petites réflexions du style : “ vous avez un joli décolleté aujourd’hui Henriette, cela devrait plaire à mon mari”, ou bien, “ votre bronzage est splendide, mon mari ne va pas vous lâcher des des yeux “.
    
    Mais Henriette n’en avait cure, elle lui faisait toujours un sourire, pour lui faire comprendre qu’elle ...
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