1. Premières expériences


    Datte: 19/01/2021, Catégories: ff, jeunes, école, odeurs, chaussures, Masturbation massage, init, Auteur: Tiberias, Source: Revebebe

    ... avec un regard malin vers son amie :
    
    — Tu ne voulais pas acheter des sandales ? Nous pourrions aller faire des achats ! demanda-t-elle carrément.
    — Euh… oui, pourquoi pas, répondit Lucie en rougissant légèrement.
    — Eh bien, je vais vous déposer en ville, dit la mère, sans rien remarquer.
    
    Une demi-heure plus tard, les deux amies étaient dans une grande surface. Elles avaient choisi un magasin vendant également des habits, afin de pouvoir disposer de cabines d’essayage. Elles entrèrent dans la cabine. Elles avaient pris deux paires d’escarpins.
    
    Lucie posa une paire de talons hauts sur le sol, couvert de moquette, du magasin. Puis elle sortit de ses baskets et approcha le pied.
    
    — Laisse-moi faire ! ordonna Julie.
    
    Et Lucie laissa son pied tendu en l’air, tandis que Julie enfonçait doucement la chaussure. Elle ressentit une grande satisfaction lorsque le cuir commença à emprisonner ses orteils, puis son talon. Julie fit de même pour l’autre pied, et le reposa à terre. Les deux jeunes filles se prirent à contempler, distraitement, cette jolie paire d’escarpins. Lorsqu’elles se rendirent compte qu’elles avaient toutes les deux fixé les chaussures pendant deux minutes, comme hypnotisées, elles pouffèrent de rire. Soudain, elle entendirent de bruit dans la cabine d’à côté. Elles se baissèrent, et, la paroi ne descendant pas jusqu’en bas, elle purent apercevoir une mignonne paire de mules beiges ainsi que les jeunes petits pieds qui allaient dedans. Immédiatement, une ...
    ... chose les frappa : une odeur très forte émanait du pied, la femme venait sans doute de faire un bout de chemin en ville. Elles posa une pile d’habits à essayer et se déchaussa.
    
    Constatant que la jeune femme allait en avoir pour longtemps à essayer tous ces habits, les deux complices tentèrent le coup : elles s’emparèrent des mules odorantes. Elles étaient à genoux côte à côte, et, se faisant du pied mutuellement, elles introduisirent chacune leur nez dans le bout d’une mule. Inspirant de grandes bouffées d’air parfumé de cuir transpiré, elles se léchèrent les babines. Julie voulut se retourner et tenter de se caresser, la mule à la main, mais son amie la rappela à l’ordre. Elles remirent prestement les chaussures, juste sous les pieds qui tâtonnaient déjà à leur recherche. Les deux filles, émues, sortirent de la cabine.
    
    Lucie avait toujours ses tennis au pied. Elles remirent les escarpins, jugés trop chauds par Lucie, à leur place, et s’assirent sur un banc, au rayon sandales. Julie s’agenouilla devant son amie, lui tira sa chaussure et inspira un grand coup à l’intérieur, les yeux fermés.
    
    — Mais qu’est ce que tu fais ? Tu es folle ! Pas ici ! s’alarma Lucie.
    — J’ai trop envie de pieds, c’est à cause de l’autre dans la cabine !
    
    Elle inspira encore puis continua :
    
    — Tes pieds sentent vraiment bon, Lucie, mais ce serait encore mieux avec du cuir !
    
    Elle laissa tomber la basket et choisit une jolie paire de sandales entièrement blanches, dotées de talons moyens ...