1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (5/22)


    Datte: 18/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    À Chazal dans le Doubs, village ou je venais dans ma jeunesse de Dijon, j’achète une boîte en cuir à Martine, dont j’ignore à quoi elle sert afin de tromper la vendeuse, c’est la soupière avec la vaisselle dépareiller qui m’intéresse.
    
    C’est ainsi que je découvre les propriétés étranges du parchemin qu’elle renferme, le soir ou elle s’ouvre.
    
    Le parchemin fait son office plus que jamais, mais mon envie de sexe me fait faire des choses inconsidérées, nul besoin par moment que la boîte s’ouvre comme en ce moment ou Christian le jeune rugbyman me prend en levrette dans notre chambre d’amis.
    
    C’est à ce moment que la tête tournée vers la porte, je vois arriver Benoît.
    
    • On ne se gène pas ici.
    
    C’est la phrase qu’il prononce tout en enlevant son pantalon.
    
    • Ma chérie, merci d’avoir franchi le pas et d’être devenue une parfaite petite cochonne, je commençais à m’ennuyer dans notre couple, suce.
    
    Monté sur le lit à genou devant moi, il me plante sa bite dans la bouche.
    
    • Jeune homme, j’ignore qui vous êtes, avez-vous déjà prise une femme en double pénétration, ou sinon, voulez-vous essayer.
    
    • Je pense que vous êtes son mari, vous n’êtes pas fâché !
    
    • Allongez-vous sur le lit, nous verrons plus tard, si je vous casse la gueule, chérie, notre jeune ami est plein de vigueur, empale-toi sur son pieu.
    
    • Christian fait ce que te dit Benoît
    
    Je me place et je l’introduis en moi, je tourne la tête, Benoît c’est placé dans mon dos, je sens sa queue sur mon ...
    ... anus, une poussée et je suis prise par les deux bites, il me faut peu de temps pour me mettre à chanter mon plaisir.
    
    Heureusement que les murs sont épais, les oreilles des voisins seront épargnées, je jouis comme une folle, je crois qu’une nouvelle fois, je vais sans le parchemin prendre un pied énorme, je jouis, je jouis et je peux même dire, je jouis encore.
    
    • Si j’avais su prendre autant de plaisir au milieu de vos deux sexes, nous l’aurions fait plus tôt mon chéri, j’ai adoré sentir vos verges de chaque côté de la paroi de mon corps.
    
    • Ton périnée ma chérie, la paroi entre ton anus et ton vagin s’appelle le périnée.
    
    C’est tout Benoît, j’ai à peine terminé de jouir que la médecine reprend ses droits, bien que les mots qu’il nous dit après, me fait penser que notre couple se dirige dans le bon sens.
    
    • J’ai compris que vous vous appelé Christian, êtes vous libre samedi prochain ?
    
    • Oui ?
    
    • Vingt et une heure ici, je vous sors tous les deux, tenue sélecte.
    
    Ignorant ou je vais, je me prépare, Benoît ma sortie une tenue sexy et lui-même porte un ensemble sport, mais du meilleur genre, je mets la boîte au parchemin dans mon sac, ignorant notre destination.
    
    Nous roulons, traversons Vesoul avant de nous arrêter devant une grande bâtisse, sur la façade une enseigne au néon « Club privé », nous entrons sans problème, pourquoi ais-je l’impression que Benoît est déjà venu ici ?
    
    Boîte à partouze, ou club libertin, mon mari vient-il dans cette bâtisse pour ...
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