1. Anonymix


    Datte: 01/05/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail telnet, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, nopéné, jeu, Humour amourcach, Auteur: PtitLoup, Source: Revebebe

    ... fantasme.
    
    Anonymix> Invérifiable, c’est ce qui donne le piment à la situation.
    
    Gawelle21> Et si tu pouvais le vérifier ? Dans quel état serais-tu ?
    
    Anonymix> Je ne crois que ce que je vois, hi hi hi.
    
    Gawelle21> Ok !
    
    —Ben voyons… Et la marmotte, elle plie le papier autour du chocolat, me dis-je.
    
    C’est incroyablement facile de fanfaronner devant un PC. La preuve, j’y arrive. Gaëlle se lève, farfouille dans son armoire puis sort du bureau.
    
    — Euh… On va aller manger ?
    — Oui, attends-moi, je reviens. Je ne serai pas longue.
    
    Où va-t-elle ? Merde, je suis allé trop loin ! Le chef, elle va voir le chef ! Elle revient.
    
    — File-moi ton stylo, s’il te plait.
    — Euh… Tiens, dis-je en lui tendant mon bic quatre couleurs.
    — Fais gaffe, le rouge ne marche plus…
    
    Elle repart aussi vite qu’elle était revenue sans faire plus attention à moi. Il se passe quelque chose, c’est grave. Je ne maîtrise plus la situation. La revoilà.
    
    — Encore une minute et je suis à toi, on va manger, me dit-elle.
    
    Elle se penche en avant au-dessus de son clavier et sa jupe remonte doucement derrière ses cuisses. Je devine ses fesses justes au-dessus du tissu, il ne faudrait pas grand chose… Faire tomber mon stylo pour jeter un œil en le ramassant ? Non, c’est elle qui a mon stylo. Ah ! Quand le destin est contre vous, je vous jure !
    
    Finalement, je me lève et me place derrière elle. Je la frôle avec mon bassin. La vision d’une levrette, là tout de suite maintenant, me passe ...
    ... par la tête.Calme-toi, calme-toi. Je regarde par dessus son épaule : accoudée au bureau, elle tape au clavier :
    
    Gawelle21> Dans ma bannette. Je te préviens, il s’appelle « reviens ». Bon appétit.
    
    Puis elle coupe sa connexion, se retourne vers moi et me dit :
    
    — À la soupe !
    
    Nous partons direction la brasserie. Au passage à l’accueil, je remarque dans sa bannette une enveloppe kraft marquée d’un X. Arrivé en bas de l’immeuble, je rouspète :
    
    — Zut ! Mes clopes !
    
    Et oui, en plus je fume, mais occasionnellement alors…
    
    — Vas-y, je te rejoins, prends-moi le plat du jour, je fais vite, dis-je précipitamment.
    
    Et me voilà reparti dans l’autre sens. Je monte quatre à quatre les escaliers (et oui, je suis quand même sportif) et j’arrive complètement épuisé au deuxième étage (sportif… léger). Je passe par l’accueil, récupère l’enveloppe et me dirige vers les toilettes. Je m’installe sur un bidet en ayant pris soin de fermer la porte. J’ouvre l’enveloppe et y plonge la main.
    
    Un soutien-gorge. Je suis terriblement excité. Ce n’est pas le vêtement qui me met dans cet état, mais le geste qu’elle a réalisé. Je le porte à mon visage. C’est bien l’odeur de son parfum, il en est imprégné. Je le regarde : blanc en dentelle. Je le tourne machinalement : 90B.
    
    Je jette un œil dans le fond de l’enveloppe, il reste quelque chose. Mon cœur s’accélère pendant que je sors cette prise de guerre. Un string ! Son string ! Blanc, à priori assorti au soutien-gorge. Je le porte ...
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