PARTIE 8 vraie! Julie la CPE aime la grosse bite d - Histoires de Sexe

PARTIE 8 vraie! Julie la CPE aime la grosse bite d

... centimètres.

Maintenant que le contexte est posé, il faut savoir que Ce que nous ignorions, c’est que quand à force d’entendre des rumeurs et des soupçons de la part de son collègue, (Mr pinazza avais fini par, sans directement nous balancer, laisser entendre que Julie avais une liaison avec un mysterieux homme dont il ignorais le nom.)

Boubakar était devenu sceptique, puis méfiant.

Ce qui fait qu’un jours, après manger, il décida d’aller écouter chez Julie à son insu, après son travail... alors que nous étions... un peu occupés.

- Ce soir la, un vendredi, Julie et moi nous étions donnés rendez vous chez elle après les cours, comme à notre habitude.

- Après avoir passée une bonne demi heure à me branler et à se faire doigter sous son bureau en attendant que sa secrétaire et ses derniers collègues libèrent le parking, on finit enfin par nous diriger vers chez elle.

- Elle me prêtait ensuite sa voiture, et me faisait conduire, car je m’était bien familiarisé avec mon permis entre temps. Bien sûr, il ne se passait pas un trajet sans qu’elle s’amuse à sortir mes 24cm par ma braguette, pour s’amuser à les faire gonfler. « tu sera bien plus à l’aise comme ça mon poney... laisse moi donc sortir ta grosse queue que je m’occupe de toi... »

- Elle me faisait avoir une grosse barre verticale, en me massant et me suçant pendant que je tentait avec grand mal de rester concentré sur la route... bref, son petit jeu habituel.

Elle aimait me rendre fou avant que je ...

... m’occupe d’elle.

Une fois arrivés, on se précipita à son appartement, je la poussais, la main fermement agrippée à ses fesses, sous son jean, pour qu’elle accélère.

On croisa Melanie brièvement dans le hall, qui regardat mon entrejambe gonflé, et à qui julie lança un regard moqueur en passant sa main sur la bosse de mon jean. je fit semblant de ne pas l’avoir vue, en embrassant Julie dans l’autre direction, puis on entra dans l’ascenseur.

Je ne sais pas ce qu’avait Melanie ce jour là, sa libido devais être à son apogée, maisElle s’écria, énervée:

« mais pour qui elle se prend cette salope, EH! Attend Antoine! Reviens! »

Mais on l’ignorat et la porte se referma. Je l’entendis courir dans les escaliers. Aucune importance. J’avais à côté de moi ma CPE qui me palpait la queue avec amour, et c’était tout ce qui comptais. Aussitôt, je la plaquât contre le miroir de l’ascenseur, et j’arrachat son haut pour faire exploser son bonnet J, et lui devora.

« Oh putain oui... mon poney... mais doucement! Mes habits...Il était tout neuf.... »

Je lui mordillais les tétons et lui tirais un peu de son lait, pas très bon mais loin d’être mauvais! et qu’elle produisait déjà en grandes quantités.

Elle gémissait.

Je la mis seins nus dos à moi, et je me regardais lui presser les tétons de ses seins démentiels dans le miroir, pendant qu’elle sortait ma queue de ma braguette et me branlais. Elle avais son sourire de chienne en coin, j’adore.

En trayant ma cpe, Je fit gicler ...